OLYMPUS MONS
Hangar 754

Du côté de la Mer de Barents, là où se trouve l’Anomalie 1. Les choses s’enveniment au fond de l’océan.
Depuis son village de Kinerma, en Russie, Marta Kulgina est entrée en contact télépathique avec Aaron Goodwin. Elle lui annonce qu’il y a encore un moyen de sauver l’humanité, d’arrêter le décompte. Il existe une autre anomalie, un autre vaisseau, à l’interieur duquel il y a un mécanisme qui pourra arrêter ce compte à rebours. Mais ce vaisseau ne se trouve pas sur Terre, il est sur Mars… Où la cosmonaute Elena Chevtchenko se trouve aussi, seule, livrée à elle-même. Il se pourrait bien que cela soit la seule qui ai le destin de l’humanité entre ses mains…

Par berthold, le 23 février 2018

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Notre avis sur OLYMPUS MONS #3 – Hangar 754

Christophe Bec arrive toujours à nous tenir en haleine, à nous donner un suspense qui joue sur nos nerfs.

Les choses s’accélèrent dans cet opus. Bec fait évoluer son intrigue tout en gardant ce suspense qui fait que nous n’avons envie de lâcher l’affaire. De nouveaux mystères se mettent en place, d’autres sont révélés. Il nous montre ce que ces explorateurs espagnols ont découvert sur cette île qu’ils ont nommé Hispaniola, en 1492. Puis, il y a ces étranges faits qui ont touché des soldats soviétiques en 1949.
J’aime bien comment Bec intègre toutes ces petits détails qui se sont déroulés dans le passé et qui sont liés dans ce qui se passe en 2026. Il nous fait suivre tous ces faits avec une telle aisance, nous entrainant dans le temps et l’espace sans que cela nous gêne dans notre lecture.
Ce tome 3 est très réussi. Il donne envie de prolonger la lecture et de voir comment tout cela va s’arranger… Ou non…

Steffano Raffaele fournit un travail toujours soigné, toujours aussi efficace. Depuis Prométhée, nous connaissons sa façon de faire et pourtant, il continue de nous surprendre dans sa mise en scène, dans sa mise en page. Ce tome 3 nous réserve quelques belles surprises. Les couleurs de Digikore Studios sont en osmose avec le travail de Raffaele. Les teintes orangées sur les scènes sur Mars sont du plus bel effet, par exemple.

Après avoir fermé ce troisième volet, je n’ai qu’une chose à dire : vivement la suite !

 

Par BERTHOLD, le 23 février 2018

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