ZOMBIES
Le Maître des Vers

Whistler, Massachussetts.
Le Musée a reçu un nouveau sarcophage datant de la période hyperboréenne. Alors que Mr Zorsky et Miss Dean se rendent à la remise pour l’ouvrir, ils se trouvent face à 4 énergumènes. Celui qui semble être le chef, qui se nomme le Major Damson, leur demande de ne pas ouvrir ce sarcophage. Il y aurait un risque. Damson et son équipe vont donc l’ouvrir et découvrir que ce sarcophage est vide. En fait, il semblerait que la momie soit ailleurs dans le musée et ils vont découvrir que les diverses momies se trouvant dans le musée reviennent à la vie et les attaquent…

 

Par berthold, le 18 avril 2015

Publicité

Notre avis sur ZOMBIES #1 – Le Maître des Vers

Zombies est une série créée par Mike Mignola, le créateur de Hellboy, à la fin des années 1990. Aux USA, elle se nomme Zombie World.

C’est une série qui pourrait faire penser à du Hellboy mais avec beaucoup plus d’humour en prime.
Mignola réussit avec brio cette première aventure qui, finalement, se trouve assez étonnante et spectaculaire. L’histoire se révèle originale. A cause d’une petite gaffe, les morts vont se relever et envahir le monde. C’est donc à l’équipe du Major Damson de relever le défi de sauver le monde. Son équipe est assez hétéroclite, il y a le costaud Roman, la jolie fille Malka, et un aveugle, un médium (qui pourrait avoir sa place au B.P.R.D.), Eustace St-John. Bref, de bons personnages.

Cette série n’est pas dessinée par Mignola mais elle est  illustrée avec talent par Pat McEown.
Ce dernier, ici, s’inspire de la ligne claire. Il s’inspire autant d’Hergé que de Yves Chaland. Une des scènes que je trouve réussie  se trouve page 51, avec les policiers devant le Musée et les drôles de véhicules, tout comme ce policier qui se dirige vers son scooter. Ce graphisme nous change du comics habituel et lorgne vraiment sur de la bande dessinée franco-belge. Le style de McEown est vraiment intéressant.

Ce tome 1 ouvre donc la voie à une nouvelle série où l’horreur et les zombies vont être présents, et l’humour aussi ! Un récit qui ravira les amateurs des oeuvres de Mike Mignola.

 

Par BERTHOLD, le 18 avril 2015

Publicité