ZODIAQUE
La malédiction du verseau

Depuis sa propriété, Pierre Fougeron, le châtelain, décide d’abattre le faucon qui s’attaque à ses colombes. Lorsqu’il le voit au dessus de lui, Pierre n’hésite pas et tire. Le faucon est touché. Il tombe à terre. Et là, l’oiseau se transforme et devient un jeune garçon. Ce dernier se nomme Louis. Il est le fils de Céleste Bonnaire et de Jérôme Moreau, qui sont en pleine séparation. Conduit à l’hôpital, Céleste et Jérôme se dispute pour savoir qui restera auprès de Louis à son chevetl. Céleste connait le secret de son fils.
Alors qu’il erre dans l’hopital, Jérôme croise une femme étrange qui lui dit qu’il faudra qu’il surveille Céleste, et qu’ainsi il pourra surement avoir la garde de l’enfant. Mais en contrepartie, elle réclame un pendentif appartenant à Céleste et qui représente le signe du verseau.
Lorsqu’elle quitte l’hôpital, Céleste est en colère après l’homme qui a tiré sur son fils. En ruminant cela, elle heurte avec sa voiture un autre véhicule. Celui ci est conduit par le chatelain…

 

Par berthold, le 29 décembre 2012

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Notre avis sur ZODIAQUE #11 – La malédiction du verseau

Zodiaque, la grande saga, conçue par Corbeyran et Delcourt, arrive bientôt à son terme. Mais en attendant, il vous faut encore lire cette Malédiction du Verseau.
Eric Corbeyran nous raconte ici l’histoire de Céleste Bonnaire et de la tragédie qu’elle vit. Il nous fait partager sa douleur de mère et son désir de vengeance pour punir l’homme qui a tiré sur son fils.

Le scénariste sait nous tenir en haleine. Il prend tranquillement son temps pour placer l’intrigue et les personnages. Il nous raconte progressivement la vie de Céleste, mais surtout, nous aide à comprendre comment le jeune garçon se retrouve dans cette situation. Pourquoi se transforme t’il en faucon ? Est il condamné à vivre comme cela pour toujours ?
Que de questions qui trouveront réponse, bien sûr, dans ce volume.
C’est un bon récit, passionnant et prenant qui nous fait passer un très bon moment de lecture.

Le tout est bien servi par le dessin inspiré et sobre de Gajic. J’aime beaucoup son style. Il sait placer l’ambiance. Les paysages blancs, enneigés, donnent de la force à ce récit. Les scènes de métamorphoses sont vraiment impressionnantes.

Je n’avais pas encore pousser les portes de l’univers de Zodiaque. Avec ce onzième tome, j’ai pu me lancer. J’ai beaucoup apprécié cette lecture qui donne envie de lire les autres tomes. Corbeyran montre une nouvelle fois l’étendue de son talent et l’imagination débordante dont il a le secret.

Un tome qui ravira les amateurs, mais aussi ceux qui aiment les bonnes histoires servies par d’excellentes intrigues.

 

Par BERTHOLD, le 29 décembre 2012

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