ZIPANG
Volume 38

 
Une chose est sûre, c’est que ce n’est pas le Sea Hawk qui ramènera sur le Mirai Kadomatsu et ceux qui sont sur le Yamato. Car après avoir causé des pertes dans l’effectif de la flotte aérienne américaine qui menaçait le cuirassé du futur, l’hélicoptère en mauvais état à cause de tirs reçus s’est écrasé sur sa piste d’appontage, entraînant dans la mort deux de ses trois occupants…

A bord du Yamato, Kadomatsu et ses camarades donnent l’assaut depuis un hangar annexe sur celui renfermant la bombe atomique. Quelle ne sera pas leur surprise lorsque du trou qu’ils vont faire à l’explosif dans la cloison entre les deux hangars pour se frayer un chemin, d’énormes quantités d’eau vont surgir, les obligeant à continuer vers leur but mais les y piégeant dans une eau dont le niveau ne cesse de monter !
 

Par sylvestre, le 22 juillet 2013

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Notre avis sur ZIPANG #38 – Volume 38

 
Chaque scénario dynamique réserve à ses lecteurs des coups de frein et des accélérations, des instants paisibles et des montées de stress, des éléments qui font avancer les héros dans leur quête et des contrecoups nécessaires au suspense… Dans ce volume 38 de la série Zipang, les éléments allant contre l’intérêt des héros sont nombreux : de nouveaux décès qu’ils déploreront dans leur maigre effectif, la menace d’éventuelles imminentes nouvelles pertes, la mise hors service de leur précieux autogire, la situation délicate dans laquelle Kadomatsu et ses hommes se retrouvent ou encore le fait que le Yamato ait remis les gaz… Dans l’autre plateau de la balance, on ne listera pas autant d’éléments favorables à nos Japonais du futur. Et assister à plusieurs décès coup sur coup nous rendra même sceptiques quant à une issue heureuse en fin de série : et si la fin du tunnel pour nos héros n’était autre que la mort à coup sûr ?! Le doute est permis, même si l’on a toujours eu et même si l’on garde une confiance aveugle dans les leaders de l’équipage du Mirai…

Les choses avancent, mais les choses vont en s’empirant aussi… Kaiji Kawaguchi parvient une fois de plus à faire monter d’un niveau des curseurs qu’on croyait ou qu’on espérait au taquet ! Celui du stress, celui du suspense, celui de l’action… Un trente-huitième bravo consécutif pour Zipang !
 

Par Sylvestre, le 22 juillet 2013

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