ZEITNOT
ouverture

Le jour de la rentrée dans la cour du lycée Clovis, le club d’échec recherche un nouveau joueur. C’est aussi la rentrée pour Tristana Thibert, une nouvelle élève en seconde 8. elle se trouve à côté de Sophie Lambertin. Cette Sophie est la petite amie de Youri Yakotchenkov, un des membres du club échec. Elle se rend compte très vite que Tristana est une très bonne élève et va tenter qu’elle devienne le nouveau membre du club d’échec. Mais Tristana n’est intéressée que par ses études et passe son temps à étudier.

Par fef, le 1 janvier 2001

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2 avis sur ZEITNOT #1 – ouverture

Zeitnot est un manga a thème comme on peut en voir de temps en temps. Je pense notamment a hikaru no go le manga sur le jeu de Go.

Ce manga à deux pôles. Les échecs avec tout ce qui les entoure. Les parties bien évidement, les théories de jeu, les termes utilisés, … on découvre ainsi pas mal de choses. Les stratégies principales et certaines tactiques pratiqués que ce soit en attaque ou en défense. bref, plein de chose qui donnent envie de ressortir un échiquier ou de jouer avec les différents jeux qui existent sur ordinateur
L’histoire s’intéresse aussi à la vie des personnages en dehors des échecs. Tous les personnages ont une personnalité différente. Cela donne quelques gags sympa, les rend très attachants et donne envie d’en apprendre un peu plus sur eux.

Pour avoir jouer aux échecs plus jeune, je suis d’accord avec à Jean Claude Moingt, le président de la fédération française d’échec qui se réjouit de voir une série qui s’intéresse à son sport. J’espère que cela permettra aux échecs de sortir de son côté long, compliqué et pas très fun comme jeu. Pour ceux qui n’y connaîtraient rien, on trouve aussi dans la préface le rappel des règles, positions et déplacement des pièces. Ce qui permet de suivre le début des parties plus facilement.

Le dessin d’eckyo et clair et rend les personnages très expressifs. On retrouve aussi les déformations et expressions exagérées traditionnel dans le manga. Cela donne un ton léger à l’histoire qui contraste avec la partie sérieuse des échecs.

Ce manga est donc à conseiller à tous ceux qui connaissent les échecs bien évidemment. Mais je pense qu’il peut surtout servir aux personnes qui pourront les faire découvrir aux réfractaires qui ont encore des préjugés sur ce jeu.

Par Fef, le 7 novembre 2007

Quand on dit que l’on trouve tous les thèmes dans les mangas ! Cette fois, le genre s’intéresse à un jeu, les échecs.

Nous tenons compagnie à un club de lycéens, ce qui donne au livre un esprit assez proche des classiques séries ados. On y suit en effet le quotidien de ces élèves avec leurs soucis, leurs passe-temps, leurs mésaventures scolaires, etc.

Sauf qu’ici, nous avons une autre vedette : les échecs. Les auteurs ont voulu nous plonger de manière très pointue dans le jeu. Lorsque des personnages jouent, l’action n’est pas seulement dessinée, elle est aussi retranscrite via les codes en vigueur (correspondant aux numéros et lettres des cases de l’échiquier). À la fin de chaque épisode, il y a également une page consacrée à une action spécifique de la partie qui s’est jouée. Un personnage explique ainsi un coup, une stratégie ou une règle des échecs. C’est assez intéressant et cela donnera peut-être envie à quelques lecteurs de (re)découvrir ce jeu.

Les passages techniques ne nuisent pas au récit, ce qui est déjà une prouesse de la part des auteurs. Quant au scénario, s’il s’avère sans prétention, il est d’une lecture bien agréable, notamment grâce à une équipe de personnages plutôt sympathiques.

Par Legoffe, le 26 novembre 2007

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