Zebre

Zebre est appelé comme ça à cause de sa peau zébrée. Il parcourt les ville tantôt en voulant se faire passer pour un grand magicien tout droit venu d’Afrique, tantôt en travaillant dans un cirque. Il passe donc son temps à jouer de l’incrédulité de ces hommes qui souhaitent encore rêver un peu.

Par fredgri, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur Zebre

Cet album rassemble les vieilles histoires que David B publia dans (A suivre) plus quelques unes inédites. Ce « Zebre » semble trop en dehors du monde pour qu’on puisse véritablement s’y attacher, c’est un cynique, il utilise les autres grâce à leur incrédulité, à leur façon de rêver et s’en sert pour soit s’enrichir soit se protéger, car avant tout, Zebre est un rêveur lui aussi, de ceux qui se disent que le monde n’a aucune limite, qu’ils n’ont qu’à tendre la main et tout se réalise !

L’ensemble de ces histoires est assez maladroit je trouve, ça manque de véritable folie, de charisme et du coup on n’entre pas vraiment dans la peau de ces personnages tous plus fantasques les uns que les autres.

Le dessin de David B garde malgré tout une grande force, c’est certes peut-être trop inexpressif mais le principal reste dans l’expression des histoires, leur façon de partir sur les voies d’une sorte de long délire !

Une curiosité !

Par FredGri, le 6 juin 2005

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