ZAK BLACKHOLE
Star Epidemy

Zak Blackhole est mercenaire. Le problème c’est que lui et son équipage sont du genre loosers !!
Au point que lors de la réunion de la guilde des mercenaires, on leur attribue d’office un « chaperon » qui devra leur enseigner les bases que tout bon pirate de l’espace doit connaitre.
Sitôt dit sitôt fait, Zak se voit adjoindre Kairydan Shaka, belle humaine, qui les inscrit immédiatement sur un contrat : récupérer une cargaison sur un vaisseau du Fédérium.
L’opération sera un succès, mais bizarrement , la seule cargaison qu’ils trouvent est une fiole très étrange, que beaucoup de monde semble convoiter à tout prix…

Par RONAN, le 1 janvier 2001

2 avis sur ZAK BLACKHOLE #1 – Star Epidemy

Y’a pas à dire, les frères Péru ont un talent fou, aussi bien dans le domaine du scénario (qui pour cette bd est co-réalisé avec Cano), que dans celui du dessin.
Cette bd est un condensé d’humour, d’action, de références cinémato – bédéo – médiatico – littéraruresques. Le scénario part dans toutes les directions, nous lance sur plusieurs intrigues (au moins 3) pour nous laisser à la fin impatients de lire la suite.
Le dessin, comme pour « Shaman », est de toute beauté dans le plus pur style des Péru, réalisé à l’ordi, d’une incroyable maitrise et richesse de couleurs ! Bref, vous l’aurez compris, je suis fan ! J’adooooore !
J’espère que cette série aura le succès qu’elle mérite amplement.
A lire absolument pour les fans de SF burlesque et du talent des Péru !!

Par RONAN, le 2 octobre 2004

On connaissait déjà le talent des frères Péru. Ils avaient signé un très bon début de série chez Nucléa2 avec Shaman. Mais le monde impitoyable de l’édition ayant contrarié la venue de la suite des aventures de la ville monde, voici que les talentueux frangins se lancent dans le space-fantasy délire. Et chez Soleil qui plus est : un défi à la hauteur de leur ambition.
On remarque d’entrée que le ton est vif, les dialogues pétillants et les personnages extrêmement attachants. On rentre instantanément dans cette histoire à mi-chemin entre Star Wars et Cosmik Roger. Mais ce qui change beaucoup par rapport à Shaman, c’est le rythme très cinématographique d’une part, et les très nombreuses références, à l’univers des comics, au cinéma et même à l’actualité (« BlackHole m’a braquer »). Peut-être peut-on y voir l’influence de l’arrivée dans l’équipe de Jean-Luc CANO, jeune cinéaste qui fait une incursion remarquée dans l’univers de la BD.
Le dessin est toujours aussi vif, avec une colorisation outrancière dans le ton de l’histoire et un fond de page noir qui devient une marque de fabrique des Peru, même si ce n’est pas forcément ce que je préfère dans ce tome.
Une excellente BD, qui se lit d’une traite, pleine de bonne humeur et de talent : à ne pas rater. En espérant que Soleil n’oublie pas que les amateurs de Peruseries attendent une suite à Shaman : les talentueux frangins ont du pain sur la planche !

Par TITO, le 2 octobre 2004

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