YOUNG JUSTICE
Prisonniers de Gemworld

Metropolis. Jinny Hex qui arrive de son Texas d’où elle n’est jamais sortie jusque là, débarque au volant de son pick-up dans la ville de Superman. Alors qu’un policier fait un contrôle sur son véhicule, un portail s’ouvre dans le ciel et laisse sortir un groupe de guerriers venus au nom des Douze Royaumes de Gemworld. Ils sont là pour affronter Superman. Jinny Hex essaie de les stopper avec son fusil. Heureusement pour elle, un des jeunes justiciers de Gotham est aussi sur place, Red Robin combat les envahisseurs. Alors que la bataille dure et qu’il commence à ne plus avoir le dessus, Wonder Girl se jette aussi dans la mélée avant d’avoir la surprise de voir apparaitre Impulse, mais aussi de recevoir l’aide de celle qui se fait nommer Teen Lantern… Et comme le dit Bart Allen, c’est le retour de Young Justice ! Les jeunes héros ne sont pas au bout de leurs surprises…

 

Par berthold, le 6 octobre 2020

Notre avis sur YOUNG JUSTICE #1 – Prisonniers de Gemworld

Young Justice fait son retour dans l’univers DC à l’occasion de la sortie des titres de la collection Wonder Comics, dirigé par Brian Michael Bendis et qui comprend les series Wonder Twins, Naomi et Dial H for Hero.

Avec ce premier tome qui comprend les épisodes US Young Justice 1 à 6, Bendis fait revenir quelques jeunes héros de l’univers DC qui avaient disparu des radars avec les évènements de Flashpoint. Ainsi, on assiste au retour de Conner Kent, alias Superboy et de celui de Bart Allen, alias Impulse. Ces retours sont accompagnés de flashbacks pour nous expliquer ce qu’ils ont vécu jusque là. Nous comprenons alors comment Tim Drake qui, jusque là, avait oublié l’existence de Young Justice, se souvient soudain d’eux.
De nouveaux personnages viennent compléter la formation, comme Jinny Hex, arrière-arrière-petite fille de Jonah Hex et Teen Lantern, une jeune fille de 11 ans qui a bidouillé et détourné une batterie de Green Lantern.
Les retrouvailles et la nouvelle formation de cette Young Justice se fait de façon intelligente et ça tient la route. Bendis s’amuse avec cette équipe et ses membres. Le divertissement est de qualité et l’intrigue nous conduit sur Gemworld.
Comme à son habitude, Bendis rajoute un peu d’humour et se permet même quelques clins d’œil à certains personnages de la merveilleuse concurrence.

Au dessin, nous avons Patrick Gleason qui ouvre le bal avec talent. Il nous propose de bien belles planches pleine d’action. Tout comme la découverte du dénommé John Timms qui devient ensuite le dessinateur attitré de la série. Il a aussi beaucoup de talent. Son travail est remarquable et enthousiasmant.

Young Justice fait un retour fracassant avec ce premier tome qui nous offre un divertissement de grande qualité.

 

Par BERTHOLD, le 6 octobre 2020

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