XIII
L'or de Maximilien

 
XIII, Jones, Mullway, Armand le Préseau, sa femme Betty, Carrington et leur prisonnière Brown ont trouvé refuge sur une île-hôtel mexicaine, chez un militaire à qui Carrington avait sauvé la vie. Nos héros sont en possession du code localisant le fameux or de Maximilien.

C’est auprès d’un professeur de linguistique qu’ils réussiront à comprendre le sens du message codé, mais l’homme en question, miné par les dettes, ne trouvera pas mieux que faire suivre les chercheurs de trésors par ceux à qui il doit de l’argent.

La visite inattendue de touristes plaisanciers en quête d’eau potable offrira sa chance à Brown de fausser compagnie à ses ravisseurs. Sous une fausse identité, elle réussira à atteindre Giordino qui recherche toujours XIII et ses acolytes.

Pendant ce temps, ces derniers mettront la main sur l’or. Mais la saisie ne se passera pas comme ils l’auraient souhaité…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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2 avis sur XIII #17 – L’or de Maximilien

Je ne sais plus a quand date ma dernière lecture de XIII ! J’ai saisi cet avant dernier hier soir, je m’y suis jeté sans réfléchir, allez hop un petit résumé pour vite recadrer la situation et boom voila l’aventure !
le scénario est certes plus habile que les deux ou trois derniers tomes, il n’empêche qu’il suit aussi parfaitement le rythme habituel de la série. J’avoue apprécier que cette sempiternelle question "Mais qui est ce mystérieux XIII ?" soit laissée de côté pour l’occasion, que l’on soit plutôt entraîné dans une vraie aventure, une recherche de trésor un peu molassonne et prévisible mais intéressante tout de même !
Le dessin se fige de plus en plus, Vancen’arrive plus à insuffler le moinde dynamisme ou même une simple expression dans ces planches, c’est froid et deshumanisé même si il fournit quelques très belles cases !
XIII n’est certainement plus la série culte d’il y a 10/15 ans, l’idée porteuse s’est épuisée progressivement mais le fait d’envisager qu’il ne reste qu’un numéro réanime l’intérêt, c’est surprenant ! On en vient à se demander quelle sera l’ultime résolution, sera t-elle surprenante, ou tout cela s’arrêtera-t il comme un bon gros thriller américain ?
La suite au prochain numéro !

Par FredGri, le 5 janvier 2006

 
XIII est comme une bonne vieille série télé. Les épisodes pilotes sont de qualité et fidélisent. Les épisodes suivants tiennent en haleine ; créent ou non la surprise mais promettent toujours qu’après, ce sera au moins aussi bien. Et finalement, même si la suite perd encore et toujours un peu de ce qui faisait que c’était génial au début, je reste curieux de savoir où XIII va me mener !

C’est vrai que cette série à rallonge ne séduit plus forcément tout le monde. C’est vrai que les situations d’enfer où les gentils s’en sortent toujours, ça agace un peu (Tintin, c’était pas mal dans le genre !). C’est vrai encore que le dessin ne varie pas, qu’il accepte encore de porter ce scénario dont on ne voit pas la fin (quoique, ça se précise !). Mais quand même. C’est l’avant-dernier tome. On a suivi le pauvre XIII jusque là. On ne va pas le lâcher si près du but !!!

Le scénario de Van Hamme aura été si ambitieux qu’il en est maintenant montré du doigt : toutes ces astérisques faisant références aux tomes précédents sont là pour que le lecteur arrête d’être embrouillé. Signe de faiblesse ou bien ces liens entre tomes tissent-ils la toile qui se resserrera enfin sur la solution de l’énigme identitaire ?

L’avantage que j’aurai eu dans la lecture de cette série est que j’ai lu pour la première fois le tome 1 en le faisant suivre tout de suite par les 13 suivants, à l’époque de la sortie du T14. J’ai été parfois très perplexe ou fâché de la tournure des événements, mais je n’ai pas vécu la déception qu’ont peut-être eue certains à attendre les tomes au compte-goutte, en fonction du calendrier des sorties.

XIII n’est donc peut-être plus ce que les lecteurs attendent mais ne nous voilons pas la face : c’est quand même une référence de la BD. On en reparlera quand on sera très vieux… et on se replongera avec plaisir dans les méandres parfois un peu trop improbables de cette aventure moderne.

Allez, plus qu’un.
 

Par Sylvestre, le 1 octobre 2005

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