XIII MYSTERY
Colonel Amos

Le colonel Amos travaille et dirige le département antiterrorisme aux Etats-Unis, après avoir quitté il y a quelques années son poste aux services-secrets israéliens.
Lors d’une mission, il rate l’arrestation d’un espion qui a tenté de mettre sur écoute les bureaux du FBI. Cet espion est rapidement identifié comme appartenant au Mossad.
Alors que le colonel Amos rend visite au directeur Giordino à la CIA pour parler de cette affaire, il croise une femme qu’il a aimée. Elle se nomme Kira, aujourd’hui veuve et vit avec sa fille, Isqah. Kira dine avec Amos et lui annonce que son enfant est aussi le sien.
En attendant, le Président des USA confie, personnellement, au colonel Amos l’enquête sur cet espion du Mossad…

 

Par berthold, le 17 septembre 2011

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Notre avis sur XIII MYSTERY #4 – Colonel Amos

En attendant la sortie du nouveau cycle de XIII, la série XIII Mystery lève le voile sur l’un des personnages les plus intéressants de la saga : le colonel Amos.
C’est Didier Alcante qui se colle à ce tome 4 pour nous conter l’histoire de cet ancien agent du Mossad devenu l’un des personnages importants de la section antiterroriste du FBI.
Ce tome est une vrai bombe !

En effet, Alcante va nous surprendre plus d’une fois avec quelques révélations qui risquent de vous renverser de votre fauteuil. Je ne vous dirai rien là dessus pour ne pas gâcher la lecture. Le récit d’Alcante est bien prenant pour le reste : il nous convie à une excellente intrigue mâtinée d’un bon suspense qui tient le lecteur en haleine de bout en bout. Le scénariste de Re Mind a su placer la barre très haute pour cette intrigue et a su utiliser à bon escient les codes du récit d’espionnage.
Il n’oublie pas non plus de nous donner quelques scènes d’action qui vont nous en donner pour notre argent.

Pour mettre en images son récit, Alcante fait équipe avec un spécialiste des manchots : Boucq, le dessinateur de Bouncer, mais aussi, spécialiste des thrillers musclés comme Le Janitor. Là encore, Boucq s’avère très efficace et son style fait mouche à chaque case. Il n’y a rien à redire sur son excellent travail : il suffit de le regarder, de l’admirer pour s’en rendre compte et s’en faire son propre commentaire.

Ce Colonel Amos s’avère être un tome de haut niveau et montre que l’on peut amener aussi de nouvelles idées à l’univers de XIII. Alcante confirme son statut de scénariste à suivre de près et quant à Boucq, ma foi, n’est-il pas déjà un maître dans son art ?

 

Par BERTHOLD, le 17 septembre 2011

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