X-MEN EXTRA
Génération M (1)

Absolon Mercator, mutant Oméga, a bien vite su se faire apprécier des résidents « forcés » du domaine Xavier.
Les esprits s’échauffent vite chez les 198 mutants détenant encore leurs pouvoirs en raison de l’implantation d’une puce pouvant les neutraliser à tout moment. Le clash entre les autorités et la communauté mutante semble inévitable, jusqu’à ce qu’Absolon révèle l’étendue de son pouvoir en enlevant une par une toutes les puces déjà implantées.
Pour les supérieurs de Val Cooper, l’idée qu’une aussi grande quantité de mutants soit rassemblée en un point sans possibilité de contrôle est totalement invraisemblable.
L’offre de Johnny D (capable de manipuler les gens par sa seule faculté a en faire des poupées vaudous) qui consiste à supprimer Absolon et ainsi mater la rébellion intéressera sûrement les hautes autorités de l’O.N.E
Dans la deuxième partie de ce numéro, retrouvez l’histoire de Sally Floyd, journaliste de son état, qui conte le récit des mutants célèbres ou pas ayant perdu leurs pouvoirs durant le jour M.
Malheureusement, au regard d‘un serial killer, il en reste encore trop !

Par Matt, le 1 janvier 2001

Publicité

Notre avis sur X-MEN EXTRA #59 – Génération M (1)

J’aimerais commencer pour cet avis, par la deuxième partie de ce numéro d’X-Men Extra. Ce récit, dénommé Génération M , nous narre le présent de certains mutants que vous avez forcement croisés dans les pages des comics mensuels, comme par exemple Chamber ou encore Stacy X, à travers la vision d’une journaliste qui provoque involontairement par la rédaction de ses carnets des meurtres à répétition. Ce récit ne manque pas de piment et d’intérêt, le style graphique colle très bien au sujet à mon humble avis.
En ce qui concerne la première partie de ce numéro, la désillusion est totale.
Je ne vous mentirais pas si je vous disais que dès le début, la saga  Décimation  ne m’a rien inspiré de bon. Et encore une fois, mon flair a fait mouche !
Il ne se passe strictement rien d’intéressant !! Un mutant Oméga aux pouvoirs incommensurables débarque d’on ne sait où et est contré par un mutant dont nous n’avons jamais entendu parler non plus. Au milieu de cela, les X-Men, totalement passifs, regardent la situation en malheureux médiateurs.
La fin est pathétique, tout le monde il est beau, tout le monde il est joli et de beaux papillons s’envolent dans le ciel… Rassurez-moi, le scénariste n’a pas vraiment été payé pour écrire ça quand même ?
Bref, une moitié de numéro à jeter, et une autre à garder, comme d’habitude dirait feu Claude François.

Par Matt, le 10 avril 2007

Publicité