WONDER WOMAN : GUERRE ET AMOUR
Tome 1

Steve Trevor a été envoyé en Durovnie, pour une mission secrète, par l’armée américaine. La mission a mal tourné et Trevor a semble t’il été fait prisonnier. Lorsqu’elle apprend cela, Diana fonce pour retrouver son amant. Mais elle ne se doute pas qu’elle va croiser la route de son demi-frère, Arès qui a d’ailleurs changé. Il veut donner un coup de main à Wonder Woman pour lutter contre toute forme de tyrannie…

Par berthold, le 11 septembre 2020

Notre avis sur WONDER WOMAN : GUERRE ET AMOUR #1 – Tome 1

Ce volume reprend les Wonder Woman 58 à 72.

Wilson G. Willow est la nouvelle scénariste en charge du destin de la belle amazone. Elle poursuit dans la voie ouverte par ses prédécesseurs en développant les liens entre Diana et son héritage divin.
L’héroïne rencontre d’autres dieux comme Arès ou Aphrodite, car il est question de guerre puis d’amour.
Les intrigues sont assez interessantes et prenantes. On croise d’autres personnages comme un faune, une vache qui parle et un cheval ailé, perdus en Durovnie. Tout ce monde semble perdu sans Themyscira, la patrie des amazones. Wonder Woman doit, outre ses soucis, s’occuper aussi d’eux.
Côté action, on est servi. En effet, Diana doit jouer des muscles contres des soldats, un dieu de la guerre, des géants de pierre… Elle demande de l’aide à l’une de ses ennemis, Giganta et ainsi, elle doit un service à la patronne de la Suicide Squad.
Wilson G.Willow est inspirée par ce sujet et signe un excellent récit qui se dévore avec passion.

Le tout étant mis en images par Cary Nord au top de son art. Son style apporte beaucoup à l’ambiance des aventures de l’amazone. Xermanico, Lupacchino ou encore Merino apportent aussi leur talents à l’édifice. En fait, il n’y a pas de fausses notes dans ces pages, tout est parfait. De nombreuses scènes sont impressionnantes et incroyables.

 Un premier tome qui nous propose une excellente lecture, un très bon divertissement qui nous permet de patienter en attendant le film Wonder Woman 1984.

 

Par BERTHOLD, le 11 septembre 2020

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