WONDER WOMAN (DC UNIVERSE REBIRTH)
Year One

Il y a des années de cela, Diana vivait sur l’île de Themyscira, l’île des Amazones qu’aucun homme ne connaissait. Tout allait bien jusqu’au jour où un avion se crashe sur une des plages. Un seul rescapé, blessé. Diana fait alors connaissance avec Steve Trevor.
Maintenant qu’il va mieux, il faut qu’il reparte chez lui, mais il faut l’accompagner. Un tournoi décidera de la championne qui s’en chargera. Et c’est bien évidemment Diana en sort victorieuse…

 

Par berthold, le 15 juin 2017

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Notre avis sur WONDER WOMAN (DC UNIVERSE REBIRTH) #2 – Year One

Wonder Woman, le film de Patty Jenkins vient de sortir sur vos écrans. Le démarrage en France fait de Diana, la princesse du Box-office. Le film a déjà fait un carton de l’autre côté de l’Atlantique, un excellent film, une belle adaptation.

Ce second volume propose les Wonder Woman Rebirth  2, 4, 6, 8, 10, 12 et 14.

Ce volume ne fait pas suite à The Lies, mais explore les origines de Wonder Woman et et les raisons pour lesquelles elle a quitté l’île des Amazones, afin d’être un peu raccord avec le film.
En fait, il ne s’agit pas vraiment des origines, mais de la première rencontre avec l’américain Steve Trevor qui débarque sur l’île de Themyscira suite au crash de son avion.
Rucka nous raconte comment Diana quitte l’île pour raccompagner Trevor et découvrir le monde extérieur. Elle va de surprises en surprises, elle est même enfermée jusqu’au jour où elle découvre ses pouvoirs, donnés par les dieux.
La jeune femme est candide au départ. Elle est émerveillée de tout, jusqu’au moment où elle se retrouve face à la violence des hommes, lorsque armés ils s’attaquent à un centre commercial. Avec Trevor et ses alliés, elle découvre qu’une sorte de secte s’en prend à l’humanité et que ce groupe serait lié à Arès, le dieu de la guerre.
L’intrigue est fort bien écrite et passionnante du début à la fin.

Mais ce qui nous en met plein la vue, c’est le dessin, ô combien fabuleux de Nicola Scott, aidée en cela par le coloriste Romulo Fajardo Jr.
Les pages sont sublimes, lumineuses. Jamais l’Amazone n’a été aussi belle que là ! Et Scott nous surprend avec des scènes d’action rondement menées !

Une très bonne lecture qui permet de retrouver Diana en grande forme !

 

Par BERTHOLD, le 15 juin 2017

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