WITCHCRAFT WORKS
Tome 1

Honoka Takamiya est un lycéen comme les autres. C’est, tout au moins, ce qu’il pense. Une vie tranquille, la routine des cours… Il est juste un peu gêné d’être toujours assis à côté de la plus jolie fille du lycée, Ayaka Kagari. Elle est si impressionnante qu’il n’est jamais parvenu à communiquer avec elle.

Bah, de toute façon, mieux vaut éviter car la belle est si célèbre et adulée dans l’établissement que le moindre contact avec elle peut valoir des représailles de la part de ses fans.

Mais sa vie va basculer un jour de grand soleil alors qu’il sort les poubelles de sa classe. La Tour de l’Horloge s’effondre sur le garçon. Il est sauvé in extremis par… Ayaka, qui le porte dans les airs ! Il pense délirer. Et rien ne s’arrange lorsqu’ils sont attaqués par deux peluches géantes déguisées en chevaliers du Moyen-Age. Il faut se rendre à l’évidence, Ayaka est une sorcière et elle semble avoir pour mission de protéger Honoka. Mais contre qui ??? Et pourquoi ?

Par legoffe, le 17 mars 2014

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Notre avis sur WITCHCRAFT WORKS #1 – Tome 1

Cette série est prépubliée au Japon depuis 2010, dans le magazine Good! Afternoon. Il s’agit d’un pur shonen qui, s’il offre pour cadre le quotidien classique d’un lycéen, prend vite des allures de fantastique. C’est ainsi qu’apparaissent des sorcières et d’étranges créatures dans l’établissement scolaire. Des personnages qui ne sont pas vus par les autres humains, tout au moins pour l’instant.

Le scénario, vous l’aurez constaté, n’a rien d’original. Il a été vu et revu bien des fois. Du coup, on manque de surprise au cours de la lecture. Pour autant, ce manga n’est pas dépourvu de qualités. Les dessins sont réussis et l’histoire est menée tambour battant. L’action est fréquente, l’humour également.
De plus, comme tout bon shonen qui se respecte, le héros en pince pour la belle qui lui semble hors de sa portée. Cela parlera inévitablement aux jeunes ados.

Prévu en 6 tomes, ce shonen ne marquera sans doute pas l’histoire du manga, mais il s’avérera récréatif, ce qui n’est déjà pas si mal !

Par Legoffe, le 17 mars 2014

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