WITCHBLADE
Chasse aux sorcières

Sarah Pezzini est victime d’un accident qui la plonge dans le coma. L’inspecteur Gleason du commissariat central est sur les rangs pour découvrir ce qui a pu lui arriver. Durant son enquête, il tombe sur le Conservateur, un vieil homme d’origine chinoise qui lui révèle l’existence du Witchblade et un lien qui l’unit profondément  à Sarah Pezzini.
Celle-ci sort du coma et peu de temps après elle découvre sur la pas de sa porte Magdalena , qui vient la mettre en garde contre ceux qui ont essayé de la faire taire. Et elle ne va tarder à découvrir pourquoi elle est gênante. Le prêtre de sa paroisse, qui la connait depuis le berceau fait parti d’une dangereuse confrérie cléricale qui souhaite la venue d’un nouveau dieu.
Mais Pezzini et Gleason ne l’entendent pas de cette oreille.

Par eric, le 27 janvier 2010

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Notre avis sur WITCHBLADE #2 – Chasse aux sorcières

Ce second tome vient débuter  un nouvel arc dans la série Witchblade. Les auteurs nous emmènent sur les traces de dangereux prêtres qui attendent la venue d’un nouveau dieu. Ce dernier est appelé depuis un plan parallèle mais n’a rien d’une divinité. Ainsi, pour ceux qui découvrent la série, on sent un certain penchant pour le mysticisme et l’ésotérisme. Certes on sent un certain déjà-vu dirons les fans de Buffy.
Le scenario n’apporte rien de bien nouveau, certes l’intrigue est amusante et prenante, mais c’est surtout la présence de Gleason qui vient fermer le triangle amoureux avec Sarah et Jake.
Côté dessin, Mike Choi a un style qui se rapproche de celui de Michael Turner, et donc va ravir les fans de la première heure. Les dernières pages de l’arc sont de toute beauté et montrent la symbiose entre le coloriste et le dessinateur. Le dragon qui y apparait est richement détaillé, certains le trouveront un peu lourdement chargé. Mais son traitement rajoute au côté fantastique et montre la frayeur que ressentent les personnes face à ce monstre.
C’est toujours un plaisir de lire cette série, série policière au demeurant, surtout dans un format relié et cartonné qui calme les attentes.

Par Eric, le 27 janvier 2010

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