WILD WEST
Wild Bill

Omaha, territoire du Nebraska, sur un chantier de l’Union Pacific. Trois hommes, qui surveillent les lieux, accueillent un étranger qui ne vient pas pour du boulot, il recherche un certain Bart O’Malley. C’est un problème, car O’Malley est leur patron et ils devinent que l’étranger ne vient pas pour une visite de courtoisie. Quand Wild Bill est sur la piste de quelqu’un, rien ne peut l’empêcher de mener à bien sa mission.
Non loin de Fort Laramie, se trouve une compagnie de cavaliers de l’armée américaine. Parmi eux, un certain Martin Jane. Mais ce nom est un nom d’emprunt. En fait, Martha Cannary s’est faite passer pour un homme pour s’engager dans la cavalerie…

Par berthold, le 5 mars 2021

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Notre avis sur WILD WEST #2 – Wild Bill

Dans ce second volume, les auteurs s’intéressent au fameux Wild Bill Hicock. D’ailleurs, le récit s’ouvre sur une scène d’introduction incroyable et très "western". Nous le suivons dans sa mission pour arrêter des malfrats. Et comme nous pouvons le voir rien ne l’arrête. Puis, nous retrouvons Marha Jane Cannary, engagée dans la cavalerie US en se faisant passer pour un homme.
Ce second tome, tout aussi réussi que le premier, nous offre bien des surprises. Gloris nous montre d’une façon assez réaliste, le côté sauvage du far-west. on a droit à quelques bagarres, mais aussi des farouches guerriers indiens qui attaquent le convoi où se trouve Jane, ils l’enlèvent lorsqu’ils se rendent compte quil s’agit d’une femme.
Le scénariste nous fait suivre en parallèle l’histoire de Wild Bill et de Jane, tout en faisant monter la pression.

Jacques Lamontagne est un grand artiste. Son Wild West est superbe, il décrit de magnifiquement la vie de ces indiens. Il montre des décors superbes et magnifiques. Il nous fait cavaler dans de grandes plaines majestueuses. C’est tout simplement du grand art.
Ce second tome est une excellente lecture qui prouve que cette série a du potentiel. D’ailleurs, un tome 3 est déjà en route.
Un western à découvrir si ce n’est déjà fait.

 

Par BERTHOLD, le 5 mars 2021

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