WEENA
Destination

Gwylym, ainsi que Yeleëna et de son fils, font route vers Nym-Bruyn et trouvent en chemin Weëna et Morckoor, endormis au pied d’un arbre. La réaction de Gwylyn ne se fait pas attendre à la vue de Morckoor.
Haggral, qui détient Opera, a réussi à pénétrer dans la cité,  tandis que Miuréal et Elias ne peuvent rien faire pour délivrer la jeune enfant de l’emprise d’Haggral.
En attendant, Elias doit faire son compte rendu auprès de Ot’skoor.

 

Par berthold, le 4 juillet 2010

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Notre avis sur WEENA #7 – Destination

Destination : je dois bien avouer qu’Eric Corbeyran sait trouver ses titres pour cette série, Weëna.
Encore une fois, je n’ai pas été déçu par ce tome 7.

Corbeyran nous entraîne dans son récit avec une telle facilité, nous y suivons nos héros dans la cité de Nym-Bruyn où tous vont se retrouver (pour mieux se perdre ?).
C’est l’heure aussi de régler quelques comptes, de s’avouer quelques sentiments. Nous verrons que la beauté et le charme de Weëna vont encore amener le malheur. Il s’en passe beaucoup de choses dans ce tome et ce n’est pas le lecteur qui va s’en plaindre.
Au contraire, nous en redemandons.
Weëna, même au bout de 7 tomes ne nous lasse pas. Le scénariste y est toujours inspiré. Il signe aussi un récit qui nous change de ses autres productions. Mais il est vrai que Corbeyran est un auteur assez hétéroclite.
L’univers de Weëna est assez riche pour nous émerveiller encore quelques temps.

Le dessin d’Alice Picard nous fait croire à ce monde. L’artiste a su insuffler sa sensibilité dans ce récit de fantasy. Son talent donne vie à ce monde et ceux qui ont lu Okhéania connaissent son art pour donner vie et rendre crédible d’autres terres.
Encore une fois, elle me surprend par son graphisme inspiré du manga mais qui garde une touche franco-belge. J’y ai trouvé quelques belles pages comme la vue de Nym-Bruyn en page 12 ou encore quelques vues du palais.

Que serait aussi le dessin d’Alice Picard sans l’apport des merveilleuses couleurs d’Elsa Brants ? Là aussi, nous sommes émerveillés par le choix des tons, des textures. Elle y apporte chaleur ou noirceur selon les sentiments des personnages ou des scènes.

Le final de ce tome 7 se termine sur une note tragique qui relance l’intêret pour la suite des aventures de Weëna et de ses compagnons.

 

Par BERTHOLD, le 4 juillet 2010

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