WATERLOO 1911
Mornes plaines

Janus s’est dévoilé ! Il n’est autre que le petit-fils du Duc de Wellington, le général anglais qui fut battu en 1815 à Waterloo. Il s’est associé à Amadéus Schrapnel, un industriel bavarois pour trouver le moyen de détruire l’Empire. Il s’est rendu compte que la fameuse sphère olmèque est l’objet qui pourra rendre cela crédible !
Duroc et Poivron tentent le tout pour le tout pour stopper Janus et n’hésitent pas à s’engager dans ce vortex temporel pour se retrouver aussi en ce jour du18 juin 1815 et empêcher que le cours de l’histoire ne soit changé !

 

Par berthold, le 12 mars 2012

Notre avis sur WATERLOO 1911 #3 – Mornes plaines

Mornes plaines, mornes plaines…comme disait …l’autre, je crois bien. Mais, j’ai pas envie de vous dire qui, juste pour vous embêter !

Mornes plaines est la conclusion de Waterloo 1911, la sérié imaginée par Thierry "Le Codex Angélique" Gloris. Dans cet ultime opus, il va vous faire voyager dans le temps et cela vous permettra d’assister à la célèbre bataille de Waterloo en ce 18 juin 1815 où l’armée de Napoléon a remporté la victoire… A moins que cela soit une autre fin ?
Oui, je ne vais pas vous dévoiler le final de cette saga, je vous laisse le plaisir de le découvrir par vous-même.
Thierry Gloris ne va pas en rester là sur cette bataille, qui est un des points culminants de ce récit, il va aussi nous raconter ce qui attend Duroc. Je crois bien que la deuxième partie du livre me fait plus penser à 2001, odyssée de l’espace, même si je trouve que c’était un passage obligé. J’aurais préféré, par contre, que nous ayons un passage un peu plus long sur la "période Waterloo", là, je trouve que le scénariste passe trop vite sur le sujet.
Néanmoins, c’est avec un certain plaisir qu’on apprécie cet ultime opus.

Le dessin de Zarcone a changé, non ? De mon avis, je le trouve différent, je sais pas pourquoi. Mais cela reste quand même du travail de qualité. Il faut voir ces décors magnifiques bien mis en avant par la coloriste Virginie Blancher qui font que le lecteur reste abasourdi lorsqu’il arrive sur ces planches.

Mornes plaines est une bonne conclusion qui peut donner à Waterloo 1911 une très belle place dans vos bibliothèques. Thierry Gloris y gagne du galon dans le monde impitoyable des scénaristes.

A ne pas manquer !

 

Par BERTHOLD, le 12 mars 2012

Publicité