WARSHIP JOLLY ROGER
Déflagrations

L’Année 3853 de l’Ere Confédérée. Du côté de l’ancienne station-spatiale Corona-Boréalis. John Tiberius Munro réussi à prendre la fuite avec ses compagnons Kowalski le contrebandier, Treize l’adolescent et Alisa, une jeune femme, à bord du vaisseau le Jolly Roger. Mais il leur faut du carburant pour poursuivre leur route. Alisa propose de rejoindre la planète Erial, ou se trouve de l’énergie pour le vaisseau. Le problème, c’est que cette planète a été ravagée par les grandes guerres toxiques, il y a plus de 4000 ans. La jeune femme sait qu’il existe une base dirigée par sa mère, où on les aidera.
Sur la planète Eridanus-IV, lors d’une sortie scolaire, Pedro, l’un des enfants de Munro, est empoisonné par un inconnu. L’enfant est mourant. Le président Vexton fait envoyer un message par la mère de l’enfant pour que Munro apprenne la nouvelle et fasse le voyage pour voir son fils. Vexton s’engage à soigner ensuite l’enfant. Sauf que sur Rrial, rien ne se passe comme prévu…

 

Par berthold, le 4 juin 2015

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Notre avis sur WARSHIP JOLLY ROGER #2 – Déflagrations

Warship Jolly Roger ou le retour des grandes sagas de science-fiction dans le genre Star Wars, Albator et même Blade Runner.
Ce deuxième volet conforme ma première impression sur la série : c’est du très bon ! Warship Jolly Roger est bien parti pour devenir une référence dans le genre.

Dans ce second opus, Sylvain Runberg nous raconte la suite de la fuite de Munro et de ses compagnons de route. Mais comme on peut le voir, rien ne se déroule comme prévu. Munro est la cible de plusieurs pièges, il doit faire des choix.
Mais ce tome s’intèresse aussi de près à Treize, l’adolescent, dont nous en apprennons un peu plus sur son passé et aussi à Alisa. Kowalski, pour l’instant, reste le Kowalski cynique comme on l’a vu dès le départ. Il apporte ainsi un peu d’humour à cette aventure.
Runberg sort des sentiers battus pour cette saga. Il n’hésite pas à être dur avec ses personnages. D’ailleurs, ce tome est, quelque part, assez difficile et touchant. Il nous présente une autre "race" vivant sur Erial, les "Parasites" comme on les appelle là-bas.
L’intrigue est toujours aussi prenante et passionnante.

Quand à Miki Montllo, il nous montre une nouvelle fois toute sa maitrise sur la partie graphique. Là encore, nous avons droit à quelques beaux morceaus de bravoure qui nous en mettent plein les mirettes.

Un excellent volume qui nous donne toujours envie de naviguer à bord du Warship Jolly Roger et de suivre Munro dans sa quête de justice !
Une série à ne manquer sous aucun pretexte !

 

Par BERTHOLD, le 4 juin 2015

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