WALKING DEAD
Point de non-retour

Le groupe de Rick est arrivé près de Washington. Ils ont rejoint d’autres survivants qui ont formés une communauté pour se protéger des morts-vivants. Pour les nouveaux arrivants, il va falloir s’adapter à cette nouvelle vie. Ce qui n’est pas facile.
Surtout pour Rick…

 

Par berthold, le 1 mars 2011

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Notre avis sur WALKING DEAD #13 – Point de non-retour

Alors qu’arrive sur Orange TV, ce mois ci, la série TV adapté de Walking Dead, Delcourt vous propose, cette fois, le treizième volume des aventures de Rick, de son groupe et d’autres survivants tentant de lutter contre ce fléau qui frappe le monde entier.

Le scénariste Robert Kirkman (Invincible, The Haunt) continue de nous montrer comment les hommes peuvent survivre lorsqu’ils sont frappés par une chose terrible qu’ils ne peuvent contrôler. Ici, ils doivent tout réapprendre et surtout, ils doivent vivre en communauté, une nouvelle fois. Ce qui n’est pas facile avec le chaos qui règne. L’auteur s’intéresse à la personnalité et à la psychologie de ces personnages. Il montre que, même pour ce (soi-disant) leader qu’est Rick, ce n’est pas facile et ce n’est pas ce qu’il fera subir à Pete qui va arranger ces affaires. Kirkman s’intéresse donc aux comportement des hommes, à leur réactions, bien plus qu’aux scènes d’horreurs qui pourraient marquer aussi le lecteur.
Bon, vous n’y échapperez pas non plus dans ce volume, il y a quelques cases ou planches que vous n’oublierez pas comme ça.

Charlie Adlard, dessinateur talentueux et qui est surement devenu le spécialiste du zombie en bandes dessinées, nous met devant deux ou trois scènes chocs comme ce gars qui, poussé par ses camarades, va servir de repas aux zombies et le lecteur qui voit cela d’en haut risque d’avoir la nausée, ou encore le choix que fera Rick lors de cette scène clé du livre ainsi qu’une double page avec de nombreux morts-vivants qui m’a marqué d’ailleurs.

Point de non-retour marque une nouvelle avancée dans la saga Walking Dead. Point de non-retour… Le titre de ce volume est bien choisi car il est vrai qu’à partir de là vous ne ferez plus machine arrière, vous êtes accroc à la série.
Une œuvre forte, puissante, violente et gore mais au final, humaine.

 

Par BERTHOLD, le 1 mars 2011

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