WALKING DEAD
Piégés

Rick et ses compagnons semblent s’être trouvés un endroit où, entourés d’une enceinte solide, ils pourraient vivre tranquillement à l’abri des attaque des morts-vivants. Mais il faut quand même penser à aller chercher des vivres à l’extérieur. Si tout ce petit monde semble s’acclimater dans cette communauté, il ne faudrait pas qu’ils oublient qu’un infime rouage dans le système peut entrainer l’horreur…

 

Par berthold, le 22 août 2011

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Notre avis sur WALKING DEAD #14 – Piégés

The walking dead est la bande dessinée qui s’est fait un nom.
Elle a marqué les esprits et continue de connaitre le succès. Surtout depuis que l’œuvre de Kirkman, de Moore et d’Adlard a connu une adaptation en série TV. La première saison, en six épisodes, a fait un carton. Les américains vont d’ailleurs connaitre au mois d’octobre un nouveau cauchemar avec la diffusion de la très attendue saison 2. Pour la France, il faudra attendre encore un peu.

Mais en attendant, vous pouvez lire Piégés le quatorzième tome de la série.
Une nouvelle fois, le lecteur sera surpris par le traitement infligé aux personnages par le scénariste Robert Kirkman. Vous verrez qu’il ne faut pas vous accrocher à certains des protagonistes si vous ne voulez pas avoir la gorge nouée par l’émotion ou les pleurs après la lecture de ce nouvel opus. Kirkman nous avait prévenu : personne n’est à l’abri ! Ici, il nous entraine dans un nouveau maelström d’horreur où sans rien dévoiler, un nouvel avenir attend les survivants.
Ce tome est très violent. L’émotion est omni-présente. Les drames s’y déroulent sans que vous ne puissez y faire grand chose. Même fermer le livre, vous ne pourrez pas tant vous êtes pris par cette action.
Robert Kirkman prouve une nouvelle fois sa maestria en matière de scénario.

Tout comme Charlie Adlard qui fait encore des prouesses graphiques. Certaines pages vont vous choquer, mettre mal à l’aise ou vous laisser sans voix.

Piégés est donc un tome important, marquant, choquant dans cette saga zombiesque. Une œuvre à ne pas manquer !

 

Par BERTHOLD, le 22 août 2011

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