W.E.S.T.
Century Club

1901 : l’équipe connue sous le nom de W.E.S.T : Morton Chapel, Angel Salvaje, Joey Bishop et Bart rumble, mène l’enquête au sujet de ces vagues de crimes et de suicides qui frappent les Etats-Unis.
Morton Chapel va approcher la jeune psychiatre, Kathlyn Lennox, tout juste revenue d’Europe. Et dont le père, le sénateur Lennox, semble lié à cette affaire. Clayton, l’homme qui a réuni l’équipe de W.E.S.T, et ancier conseiller de la Maison Blanche à la retraite, est mis aux arrêts par ordre du gouvernement. Chapel et ses hommes vont découvrir qui se cache sous ce complot diabolique. Et ils vont devoir sauver le Président des U.S.A, même si la police les considère comme des hors-la-loi…

Par berthold, le 1 janvier 2001

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2 avis sur W.E.S.T. #2 – Century Club

Ce tome 2 est une vrai réussite, un vrai bonheur. A la lecture, on ne ressent aucun ennui.
Déjà, le dessin de Rossi (« Jim Cutlass », « la gloire d’Héra »…) est sublime, lumineux, parfois je me suis demandé si ce n’était pas de la photo. Son style a évolué. L’histoire est mené tambour battant. Un découpage cinématographique, une construction habile, de magnifiques cases dynamiques, du génie dans la mise en scène des planches : voir cette planche où toute l’équipe est réunie autour d’un plan vu d’en haut. J’y ai retrouvé aussi des hommages – peut-être – à « La horde sauvage » ce chef d’oeuvre du western de Sam Peckimpah : voir les planches 23-24-25 : un « gunfight » d’anthologie. De même que l’action finale découpée du point de vue des personnages qui me rapellent la scène finale de cet autre chef d’oeuvre du 7ème art qu’est « Le Parrain » de Coppola. Une mention aussi pour les deux scénaristes : Xavier Dorison (« Sanctuaire »,…) et Fabien Nury (« Je suis Légion »,…) : Messieurs, si vous lisez ces lignes, je vous tire mon chapeau, BRAVO! Ce tome 2 clot superbement ce 1er cycle. Un deuxième cycle est annoncé : « 1902 : El Santero » et « 1902 : Le 46ème état ». C’est sur, je serai au rendez-vous!

Par BERTHOLD, le 10 mars 2005

A part cette couverture assez laide ce deuxième album est en effet un vrai plaisir de BD, on a même assez le sentiment que le scénario est écrit pour être adapté au cinéma tant tout y est, de l’action, une équipe de héros complètement atypique et un méchant vraiment méchant! De plus l’intrigue est parfaitement ficelée, très documentée et bien rythmée. Rossi alterne un style moderne avec des cases ebaucoup plus classique, on a encore le sentiment qu’avec cette série il expérimente une approche graphique bien particulière, c’est très souvent très réussi et cela donne un résultat vraiment convainquant.
Excellente finale de ce premier cycle plein de promesses.

Par FredGri, le 28 janvier 2008

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