THE WALKING DEAD (VO)
What We Become

Rick et ses compagnons ont fort à faire pour survivre. Ils ont des soucis personnels qui se rajoutent à leur lutte contre les morts vivants. Ils font une étrange découverte : un des zombies semble mourir, mais de faim. Il serait peut être possible que ces créatures puissent mourir de quelque chose ?
En attendant, alors qu’ils vont vers Washington, Rick propose de faire un détour par une ville – son ancienne ville – où il sait qu’il peut y trouver des armes au poste de police…

 

Par berthold, le 13 juin 2013

Publicité

Notre avis sur THE WALKING DEAD (VO) #10 – What We Become

Le monde apocalyptique imaginé par Robert Kirkman continue avec ce nouveau tome de The Walking Dead qui reprend les épisodes 55 à 60 de la série.

A chaque lecture, j’en ai des sueurs froides. Imagineriez vous un avenir aussi horrible où les morts reviennent à la vie et dont le seul but est de vous manger, que vous deviez lutter contre ces monstres, sans aucun endroit vraiment sûr ou se réfugier ?

Dans ce nouveau tome, Kirkman insuffle encore une fois un excellent suspense en restant surprennant avec les directions qu’il prend pour ses personnages. Ce tome contient de nombreux moments assez forts, des moments durs et violents. La scène où ces trois gars attaquent Rick, son fils et Abraham et que l’un deux veut faire subir des choses au garçon. La riposte de Rick est bien sûr, celle d’un père, mais elle peut choquer. De même, ce que raconte Abraham est tout aussi fort que si nous avions les images. Kirkman ramène aussi un vieux personnage, Morgan, une rencontre qui amene son lot d’horreur. Mais le moment crucial est bien sur vers la fin du tome avec cette fuite des héros et leur incroyable découverte.
Kirkman étudie toujours avec minutie la psychologie de ses personnages.

Charlie Adlard poursuit avec cette même virtuosité graphique. Son trait est parfait et il arrive vraiment à faire sortir l’émotion dans son dessin.

The Walking Dead, malgré son sujet assez dur et violent, est une série à découvrir. C’est un chef d’oeuvre du genre. Une oeuvre qui vous prend aux tripes et qui ne nous laisse pas indifférents !

 

Par BERTHOLD, le 13 juin 2013

Publicité