THE WALKING DEAD (VO)
The best defense

Rick et ses compagnons sont toujours retranchés dans le pénitencier alors que les zombies les encerclent.
Un jour, alors que Rick, Glen et Michonne font une sortie pour récupérer de l’essence sur des voitures dehors, ils aperçoivent un hélicoptère qui s’écrase. Rick décide d’aller voir sur le lieu du crash s’il n’y a pas de survivants.
Arrivé à l’endroit, ils ne trouvent personne mais des traces semblent indiquer que du monde est passé par là. Alors que la nuit tombe et au lieu de retourner au pénitencier, ils vont suivre ces traces.

 

Par berthold, le 9 juin 2013

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Notre avis sur THE WALKING DEAD (VO) #5 – The best defense

The Walking Dead est une des meilleures séries du genre "morts-vivants". A chaque lecture, je suis pris par l’histoire et l’épouvante m’envahit.

Avec ce cinquième tome, qui reprend les épisodes #25 à 30, Robert Kirkman, le scénariste d’Invincible, nous surprend encore et toujours. Il amène ces anti-héros là où on s’y attend le moins. Ici, nous voyons comment Rick, Glen et Michonne découvrent qu’il peut exister encore plus monstrueux que les morts-vivants. Et là, on se dit que les plus dangereux ne sont pas forcément ceux que l’on croit. De même qu’à l’extérieur, le drame se joue, du côté du pénitencier, la tension monte. Les relations entre certains "pensionnaires" se dégradent. Et là, encore, Kirkman joue avec nos nerfs.

Charlie Adlard est en train de devenir un spécialiste du comics de zombie. Son dessin en noir et blanc est assez éblouissant. Les scènes d’horreur sont très marquantes. Mais je ne parle pas que des scènes où des zombies attaquent des hommes. Non, il y aussi ces scènes entre les êtres humains. Il faut voir quelle tension ressort de la scène de violence que subit Michonne. On n’a pas besoin de voir, tout est sous-entendu, mais c’est là que ça marque, c’est là où l’horreur est présente. Dès la dernière page, on a envie de connaître la suite, de voir ce qui va arriver.

The Walking Dead est une oeuvre assez forte, puissante et qui marque nos esprits. Une oeuvre à ranger aux côtés des films de Romero.
Mais, un conseil : âmes sensibles s’abstenir !

 

Par BERTHOLD, le 9 juin 2013

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