JOHN CONSTANTINE : HELLBLAZER (VO)
The roots of coincidence

Le Vatican, Rome. 
John Constantine a besoin que quelqu’un lui récupère un ouvrage détenu dans la Bibliothèque Noire du Vatican. Il va approcher un prêtre qui y a accès, un prêtre dont il connait les secrets, le père Grimaldi. Ce dernier n’a aps de choix que d’obéir à Constantine.
John pourra ensuite découvrir si en fait, tout ce qui lui arrive ne serait pas une énorme conspiration?

Par berthold, le 22 septembre 2009

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Notre avis sur JOHN CONSTANTINE : HELLBLAZER (VO) #29 – The roots of coincidence

Ce nouveau TPB de  Constantine reprend les épisodes #243 et 244, puis 247 à 249. Le détective d el’occulte va encore nous donner des sueurs froides avec ce récit.

Andy Diggle, le scénariste nous emmène au terme de son run avec une telle maestria que vous n’arrivez pas à quitter les pages de ce livre. le suspense est maintenu jusqu’au dénouement final.
J’ai bien apprécié la qualité d’écriture de Diggle. Bien sur, cela nous change un peu des prestations d’Azzarello ou de Mike Carey. Mais cela reste encore une fois, d’un très haut niveau. Au bout de presque 300 numéros, John Constantine a encore des choses à nous conter.
Ce récit va nous entrainer dans de sombres recoins du Vatican et nous montrer comment Constantine est le roi de la duperie, un as de l’arnaque. Johnny Hooker et Henry Gondorff sont des petits joueurs à coté. Le scénariste a réussi à ce que le lecteur soit pris dans l’entourloupe et ne devine l’embrouille qu’à la fin.
De plus, l’auteur va nous surprendre avec ce dénouement qui va nous dévoiler qui se cache derrière tous les évenements qui ont marqué la vie de Constantine.
Coté graphisme, nous y retrouvons Giuseppe Camuncoli que les lecteurs connaissent par son récit sur Les Scorpions du Désert et ses divers travaux sur des comics. Son style sert très bien le récit et donne l’ambiance pour cette aventure.
puis nous y retrouvons Leonardo manco qui n’en est pas à sa première participation sur Constantine. Son trait s’est d’ailleurs bonifié avec les années. 
Les auteurs nous mettent dans l’ambiance avec talent.
Vous pouvez aussi y admirer les superbes couvertures de Lee Bermejo.

Ce tome d’Hellblazer est un  Constantine de grand cru. Une histoire qui dévoile un secret concernant ce héros.
Attention, Hellblazer n’est pas à lire à n’importe quel heure de la nuit. Cela peut vous donner de mauvais rêves et John C. ne sera pas là pour vous aider.

Par BERTHOLD, le 22 septembre 2009

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