VIDEO GIRL AI
Vidéo Girl Aï (réédition)

Yota ne parvient pas à retrouver Aï. Et pour cause, elle a été rappelée au Gokuraku, dans un monde parallèle. Pour Koto, son superviseur, une vidéo girl défectueuse (elle ressent de l’amour) ne peut rester en activité. Mais l’affection que lui porte Yota et sa volonté de récupérer Aï a finalement raison de son intransigeance. Aï retourne sur terre. Mais elle a une nouvelle mission et ne doit exprimer ses sentiments sous peine de destruction. Yota ne comprend pas ce revirement de comportement et le vit très mal. Une altercation avec un élève qui tente de profiter de la nature généreuse d’Aï lui vaut bien des problèmes.

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

Notre avis sur VIDEO GIRL AI #2 – Vidéo Girl Aï (réédition)

Tonkam, je le disais dans ma critique sur le tome 1, réédite Vidéo Girl Aï pour la dernière fois dans le sens de lecture français. Et c’est bien. Certains en profiteront pour découvrir cette oeuvre majeure de Katsura, et d’autres reliront avec nostalgie une oeuvre qu’ils ont découverts depuis pas mal d’années, mais qui n’a pas pris une ride. Tandis que les indécrottables (c’est un choix ;o)) bouderont une nouvelle fois cette série de 13 tomes, et c’est dommage.
Si le premier tome était un peu science fiction, et posait les bases de la série, ce deuxième tome enfonce un peu plus le clou dans la science fiction, et les relations ambiguës. Ce qui est un pur délice d’ailleurs, tant Katsura maîtrisait déjà l’art de concevoir des histoires amoureuses passionnantes à suivre. Ne me lisez pas avec des gros yeux ronds, cette série est autant destinée à la gente féminine que masculine, et ce n’est pas parce que l’histoire est un peu à l’eau de rose parfois qu’il faudrait bouder Vidéo Girl Aï, bien au contraire !! Un peu de finesse et de douceur dans ce monde de brutes ne fait pas de mal ;o)
Alors n’hésitez pas une seconde et découvrez cette nouvelle édition, cela en vaut la peine, surtout que c’est certains que la série aura une fin, car elle est déjà terminée, et entièrement traduite.

Par Siam l'Archiviste, le 4 juin 2003

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