VALSE DES FÉLINS (LA)
Objectif Londres

Le rallye transeuropéen continue et les équipages se livrent une lutte acharnée. Pourtant, la victoire finale ne semble pas être le but ultime de certains équipages. Aussi mafia et les écologistes s’en mêlent, la course devient tout de suite plus animée.

Par olivier, le 25 septembre 2014

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Notre avis sur VALSE DES FÉLINS (LA) #2 – Objectif Londres

Les pilotes foncent pied au plancher au volant de leurs superbes bolides sur les routes d’Autriche, direction Londres via Berlin.
A toute vitesse, oui, quand un papa mafieux sicilien ne bloque pas l’autoroute pour récupérer sa fille ou quand des écologistes ne dévient pas la course vers une petite départementale où tout le monde se retrouve bloqué derrière un tracteur.
Voilà qui aurait déjà de quoi perturber n’importe quelle équipe, mais, quand ce sont les concurrents eux-mêmes qui jouent les trublions, les événements s’enchainent à 200 à l’heure.

Dans la lignée de La Grande course autour du monde et autres Fous du volant, la valse des félins mêle avec bonheur rallye automobile et péripéties extérieures, vol, amours, espionnage, appât du gain, le tout porté par une kyrielle de personnages hauts en couleurs.
Le scénario de Weytens est vif et l’aventure automobile s’enchaine au rythme des affaires qui secouent la troupe de passionnés.

Le dessin de Skiav, qui ravira les afficionados de l’école de Marcinelle, fait la part belle aux automobiles des années 70 et aux bouilles expressives.

Fin de l’aventure pour ce rallye et, pour reprendre le mot final de Léon Zitrone : A vous cognac Jay, à vous les studios.

Par Olivier, le 25 septembre 2014

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