UQ HOLDER
UQ Holder tome 1

Tôta Konoe est un jeune garçon qui vit dans la nouvelle ère de l’humanité. Les villes se dépeuplent, les infrastructures se dégradent. Mais à l’horizon se dresse la tour qui s’élève jusque dans l’espace. Ce dernier symbole de grandeur est le rêve de Tôta, et du fond de son petit village de campagne, il n’a qu’un rêve: atteindre un jour cette tour, et devenir connu du monde entier. Mais pour quitter son village et aller à Amanomi Hashira, la nouvelle Tokyo, Tôta et ses amis doivent vaincre leur mentor et professeur, Mme Yuki-Hime, ce qui n’est guère chose facile.

Par Clémence, le 23 avril 2015

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Notre avis sur UQ HOLDER #1 – UQ Holder tome 1

Voici le début d’une belle et grande aventure, avec le maître du Shônen, Ken Akamatsu. Les fans les plus mordus trouveront de nombreux clins d’oeil à son autre série, Negima!, dans UQ Holder.

Le récit démarre fort, avec d’emblée de la bagarre, et de la magie. Car Mme Yuki-Hime est loin d’être un professeur ordinaire, elle est en réalité Evangeline A.K MC Dowell, un vampire de plus de 700 ans, crainte de tous et recherchée par tous les chausseurs de prime du pays. Tôta l’apprendra à ses dépends, alors qu’il découvre que lui-même fait partie de ce clan des immortels.

Une fois la vérité révélée, Tôta et Evangeline n’ont plus le choix, ils doivent quitter le petit village et se rendre à la capitale, en espérant ne pas se faire attraper par des chasseurs de prime en tous genres sur la route. On embarque alors pour un véritable road trip – à pied – au cours duquel Tôta essaiera de se faire des amis – sa candeur naturelle aidant – et de ne pas se faire tuer.

Les nombreuses scènes d’action sont parfaitement maitrisées, les combats s’enchainent avec fluidité et force et l’on découvre à peine l’étendue des pouvoirs des immortels.
Le récit est ponctué d’un humour reconnaissable qui fera forcément sourire, que ce soit dans le dessin, ou dans les dialogues.

Ce premier tome est donc très prometteur, on entraperçoit les mystères d’un monde encore à découvrir, et l’on suit avec grand plaisir Tôta, qui se découvre en même temps que nous.

Par Clémence, le 23 avril 2015

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