ULTIMATES
Frappés au coeur

Alors que Tony Stark et Natasha Romanov roucoulent dans les appartements de Stark, les Ultimates sont réunis au Triskelion, New York. Nick Fury , Wanda, Pietro, Jan analysent les derniers évenements : la trahison de Captain America, la folie de Thor, la mort d’Oeil de Faucon, la perte de Hulk qui fut condamné à mort (mais a réussi à y échapper ) et Giant Man contraint de quitter l’équipe.
Et si tout cela faisait partie d’un plan ?
Fury et les Ultimates ont juste le temps de voir que les héliporteurs du S.H.I.E.L.D. s’écrasaient sur le Triskeion et une nuée d’hommes volants qui attaquent New York.
Les villes de Los Angeles, Chicago, Washington et bien d’autres subissent le même sort.

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur ULTIMATES #24 – Frappés au coeur

Ca, c’est du grandiose. De l’évènement ! Du rarement vu dans un comics de super-héros.

Déjà qu’au dernier épisode, on apprenait que Steve Rogers alias Captain America était un traître, ce qui fait déjà  un choc, alors avec ce numérod’Ultimates, on est encore plus sous le choc. On va connaître le pourquoi du complot, qui est vraiment le traître et qui a tout manigancé. 
Mais c’est surtout l’attaque sur New York qui risque de vous rester gravée en mémoire. Du jamais vu ! (A part peut-être chez The Authority).

La défaite et le massacre  du S.H.I.EL.D. resteront comme un numéro marquant. La scène où les troupes ennemies font tomber la Statue de la Liberté restera comme un grand moment d’anthologie. Bryan Hitch nous offre des pages dignes d’une super-production hollywoodienne du genre "film-catastrophe/fin du monde". Là, Hitch montre vraiment son talent. 
Bravo !

Alors que deviendront les Ultimates et le SH.I.EL.D. puisque la plupart disparaissent dans ces pages ? C’est ce que nous découvrirons en novembre. Deux mois à attendre.

Quant à l’épisode tiré d’Ultimate xtinction (qui sont antérieurs aux évènements survenus dans Ultimates) la saga sur Gah Lak Tus s’avère fort intéressante. Et puis, il y a la version ultimate du Surfer d’Argent.
Du bon comics à dévorer sans plus tarder.

Par BERTHOLD, le 25 septembre 2006

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