TUNIQUES BLEUES (LES)
Requiem pour un bleu

A peine sorti d’un coma profond, Chesterfield apprend la mort de Blush son compagnon d’arme. Le choc est terrible.
Au pied de la simple croix de bois qui signale la sépulture de son ami, Chesterfield découvre différentes versions du combat qui causa la mort de Blush. Il n’est pas au bout de ses surprises.

Par aub, le 1 janvier 2001

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4 avis sur TUNIQUES BLEUES (LES) #46 – Requiem pour un bleu

Qui ne connait pas les tuniques Bleues?
Je dois bien avouer que c’est le premier tome de cette série que je lis et j’ai vraiment bien aimé cette histoire. Je connaissais, quand même, un minimum cette série mythique avec ses personnages principaux, cette guerre qui n’en fini pas depuis ces 46 épisodes, etc…
Tout au long de l’histoire je me suis demandé comment elle allait pouvoir se terminer, même si évidemment, malgré la mort de Blush je me doutais que ce ne serait certainement pas le dernier tome des Tuniques bleues… ouf !.
Un petit regret? J’ai trouvé un peu dommage que quelques cases soient réutilisées a plusieurs reprises au cours de la BD.
Quant au dessin de cette série, il n’a toujours pas changé, et les fanas apprécieront de retrouver le trait Cauvin.

Par AUB, le 25 avril 2003

Ah, les tuniques Bleus : le sergent Cornelius Chesterfield et ce bon vieux caporal Blutch… J’avoue j’adore cette serie, ce sont ces deux zigues qui m’ont fait aimé et devenir un accro à la BD… Ce nouvel opus est toujours aussi bon, on ne s’y ennuie pas, vu que ça se lit assez vite quand meme. Nous ne sommes pas dupes au sujet de l’intrigue, on s’y attend un peu…Il aurait fallu que Cauvin ose sortir cette histoire en 2 tomes, et laissez un peu plus de suspense au sujet de la mort de Blutch, il aurait du jouer un peu plus avec ses lecteurs, c’est le petit bemol de cette histoire… Le dessin de Lambil est égal à lui meme, classique…. Bref, c’est toujours aussi bon quand meme, il ne faut pas faire la fine bouche !

Par BERTHOLD, le 29 avril 2003

aïaïaï!!
ça s’essouffle là quand même, 46 albums et cauvin est obligé de faire un 44 planches avec un scénario qui tiendrait dans un papier à cigarette.
Je vous en conjure M.Cauvin, renoncez un instant à sortir un tunique bleu tous les 6 mois et creusez vos scénarios !!

Par Kossak, le 21 mars 2004

Cauvin a du mal à tenir le rythme et la distance. Il utilise la technique du gag « téléphone arabe », amplifié, déformé et tire sur la ficelle jusque la faire casser. Il n’hésite même pas à refourguer en 10 pages, 2 x 2 planches identiques. Lambil n’a pas du trop avoir à s’essoufler sur celles-ci. Les découpages sont poussifs ainsi on retrouve au gré des planches des 1/2 planches plutôt destinées à aller au bout des 44 pages réglementaires qu’à apporter quelque chose au récit. Dur dur Cauvin…Après lui le déluge…Ah, pardon…Le déluge a commencé et il est encore Là…

Par LAU, le 22 mai 2005

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