TRIANGLE SECRET (LE)
L'évangile oublié

Martin se décide à faire des révélations à Didier et Josianne, et a leur montrer son exemplaire du testament du fou. IL leur révéle également son appartenance à la loge première.
Au même moment, au sein du Vatican, des tensions apparaissent en vue de la succession du Pape mourrant. Les gardiens du sang semblent agir de façon incontrolable. Leur but ultime, détruire toute trace de l’existance du testament et du tombeau…

Par RONAN, le 1 janvier 2001

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3 avis sur TRIANGLE SECRET (LE) #4 – L’évangile oublié

Encore un excellent tome de cette non moins excellente série qu’est le Triangle Secret. L’auteur distille au compte-goutes ses révélations et nous tient en haleine… L’histoire en est toujours aussi prenante. Je regrette juste la technique de colorisation à l’ordinateur qui donne un côté un peu trop artificiel et rigide à l’ensemble.

Par RONAN, le 11 janvier 2003

Alors que la série semble avoir trouvé son rythme de croisière, les forces en place s’affrontent dans un long combat muet. C’est peut-être, comme le dit Lucania, un peu trop, justement, manichéen !
C’est vrai que toute l’attention du lecteur est occupée par le remarquable travail de Convard qui nous guide tranquillement dans cette histoire. Malheureusement on sent aussi qu’il prend plaisir à allonger la sauce, ça n’avance pas, on saute d’un complot à un autre et finalement on se rend compte que l’intrigue n’a qu’à peine progressé de quelques pas ! Convard se perd un peu à perpetuellement appuyer sur les conflits qui opposent tout les intervenants, et mise à part cette explosion « rafraichissante » qui pourrait enfin signifier que les choses vont se lancer pour de bon, c’est très statique !
Les dessins se bornent à être fidèles à eux même. On ose parfois espérer qu’ils auraient pu avoir autant d’attention que le scénario. D’ou ce déséquilibre, parfois entre le fond et la forme !

Par FredGri, le 28 août 2003

Dans cet épisode , on peut considérer que la mise en place de tous les éléments est faite. On a un chouia plus d’action avec un plastiquage de maison entre autres choses. On peut reprocher aux forces qui s’affrontent d’être un peu manichéenne sur les bords. Certes , elles se battent depuis 2000 ans l’une contre l’autre, mais tout de même le combat de la vérité contre le mensonge ça sonne un tantinet « déjà vu ».

Grosse fatigue neuronale

L’avantage est, encore une fois, l’extrême élaboration de l’intrigue qui monopolise l’attention du lecteur. En effet , on se surprend parfois a se creuser les méninges autant que les personnages pour comprendre là ou les auteurs veulent en venir . Les sauts dans le passé sont d’agréables intermèdes même s’ils augurent toujours une complication dans le nœud de l’énigme . Les Francs maçons sont par définition difficiles à suivre ;o). le dessin est toujours très fouillé dans les parties historiques ( ici chez l’empereur Napoléon III) et les décors.

Un peu statique…

Heureusement la psychologie des personnages s’étoffe au fur et à mesure, avec leurs doutes, leurs craintes, leurs espoirs… Tout ça manque un peu de mouvement dans le dessin, mais bon c’est de la bd historique, pas d’aventure, même si par certains côté on se croirait chez Indiana Jones … En tous les cas sachez que contre toute attente, loin de s’éclaircir, le mystère s’épaissit .

Par Lucania, le 15 août 2003

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