TOPO
Novembre/décembre

Dans ce deuxième volume de Topo, les auteurs parlent du Bangladesh et de son industrie du textile, du phénomène Norman, Du fonctionnement des Primaires chez les Républicains, de la carrière de Beyoncé, de l’expérience de deux jeunes détenus sur un bateau, des transport de demain, du headbanging, de ce qu’est une utopie… Et la suite de l’histoire "le meilleur des mondes possibles" par Stéphane Melchior et Sacha Goerg…

Par fredgri, le 6 novembre 2016

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Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur TOPO #2 – Novembre/décembre

La formule a assez bien fonctionné avec le premier numéro, et la rédaction de Topo rempile sur un second opus du même acabit !

Le principe est donc des plus simples, comme c’est affiché sur la couverture "L’actu dessinée pour les moins de 20 ans". On retrouve alors la même démarche que La Revue Dessinée, mais d’une part avec des sujets plus axés sur les préoccupations des – de 20 ans, mais aussi avec un discours moins poussée que la revue sœur.
C’est à la fois très intéressant, mais légèrement plus succinct. Même si je trouve les reportages sur le Bangladesh, sur les Républicains, sur les jeux, ou encore le témoignage sur les jeunes détenus qui participent à une expérience sur un bateau passionnants et très complets, tandis que d’autres comme Beyoncé ou Emma Bovary me semblent sans aucun intérêt. Mais c’est certainement du au fait que je ne fait pas partie du public cible et donc que je me sens nettement moins concerné par des sujet qui s’adressent très clairement à des ados.
Cependant, la rubrique "Science infuse" aborde le sujet de la dépression chez les jeunes avec beaucoup de justesse et de finesse, en expliquant bien la nécessité de dialoguer et de prendre au sérieux cette période charnière dans la vie d’un jeune ado !

Un contenu très pertinent et particulièrement accessible, qui évite adroitement de devenir trop technique et donc rébarbatif pour un lectorat qui a encore besoin d’avoir les clés nécessaires pour décrypter le monde qui l’entoure !
Cela reste toutefois nettement plus "sérieux" que ce que peut proposer par exemple Groom. Sérieux, dans le sens de "pas léger". Mais on sent aussi qu’il n’est ici nullement question d’être moralisateur, juste de rester clair et concis, en abordant tout un tas de rubriques thématiques, ne traitant pas forcément de la société, mais plus généralement du monde et de ses richesses !

Un très bon complément à La Revue Dessinée !

Par FredGri, le 6 novembre 2016

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