TINTIN
L'île noire

Tintin, en ballade avec Milou, aperçoit un petit avion de tourisme qui semble avoir des ratés. De fait, il atterrit dans le champ voisin.
Intrigué que celui-ci ne porte aucune immatriculation, le jeune reporter s’approche afin de proposer son aide, mais reçoit pour seule réponse une balle.
Légèrement blessé, il reçoit la visite à l’hôpital des Dupondt qui lui apprennent qu’un avion de tourisme non immatriculé s’est écrasé dans le Sussex.
Il n’en faut pas plus pour faire sortir Tintin de son lit et mener l’enquête en Angleterre…

Par PATATRAK, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur TINTIN #7 – L’île noire

Ce Tintin sixième du nom est un bon policier. Le scénario de Hergé est bien ficelé et se déroule parfaitement.
Confronté à un vaste réseau de trafiquants de faux billets, notre ami mène l’enquête avec entrain. De nombreux rebondissements viennent émailler le récit, ce qui n’est pas pour déplaire : l’action n’en est que plus rythmée.
Bien sûr, comme souvent, on peut sourire du courage de notre héros, qui, quand même, se retrouve à un contre cinq plus un gorille et qui se sort de situations vraiment… abracadabrantes !
Aussi, rappelons que ce sont les aventures de Tintin ET Milou, et qu’à ce titre, le petit toutou blanc occupe toujours un rôle moteur dans les histoires. Ici, s’il est déterminant dans la conclusion, on rit surtout de ses remarques (souvent très drôles et bien placées). Saluons également un sacré numéro de clown alcoolique qu’on ne lui connaissait pas (encore) et qui est vraiment un petit régal !
Dans le même rôle de comiques de service, les Dupondt ne sont pas mal non plus, avec un fabuleux numéro de voltige.
En prime, j’ai trouvé que les dessins de la réédition de 1965 (je ne connais pas l’édition de 1938) faisaient honneur à la terre d’Ecosse : tous les paysages y font immédiatement penser, comme l’aspect rocailleux des plaines, des falaises… Le château de Ben Moore aussi est parfait en demeure « hantée » de sinistre allure

Par PATATRAK, le 2 avril 2004

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