TINTIN
Coke en stock

La vie est mouvementée à Moulinsart. L’Emir Ben Kalish Ezab, ami de Tintin et Haddock, leur confie son fils car il craint une révolution dans son pays. Voici donc le château très animé par les bêtises d’Abdallah.

Malheureusement, les craintes de l’émir étaient fondées. Il est renversé et doit se réfugier dans le Djebel. Tintin et Haddock découvre que ceux qui ont fomentés le coup d’Etat semble être les mêmes personnes que celles qui gèrent un trafic de machines de guerre en Europe, trafic sur lequel Tintin enquête justement.

Tintin et Haddock décident de partir immédiatement pour le Moyen-Orient afin de démanteler ce réseau et sauver l’émir.

Par legoffe, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur TINTIN #19 – Coke en stock

Hergé nous emmène dans une nouvelle aventure trépidante et s’amuse beaucoup à rassembler, dans cet album, des personnages déjà rencontrés dans d’autres histoires de la série. Je citerai, parmi d’autres, le général Alcazar, l’émir, Dawson ou encore Rastapopoulos.

L’auteur évoque dans cette histoire les trafics d’armement et la collusion qui existe parfois entre certaines firmes et les meneurs de coups d’état. On aborde également le problème du trafic d’êtres humains.

Les thèmes sont donc forts et servent une aventure mouvementée qui nous emmène de l’Europe aux Emirats Arabes. De quoi se dépayser et apprécier l’humour et l’imagination de Hergé.

Finalement, le seul point faible du scénario reste, à mon avis, la base de l’intrigue. L’auteur mise sur trop de hasards et trop de facilités pour amener Tintin d’un trafic d’armes au renversement de l’émir. Ça n’est pas très crédible. Mais, qu’importe, on se laisse mener facilement dans l’aventure et c’est bien là l’essentiel.

Par Legoffe, le 31 octobre 2007

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