TIF ET TONDU
Les ressuscités

Un pauvre représentant en savonnette est sur le bord de la route, attendant que quelqu’un passe sur cette route déserte du Morbihan, heureusement, nos deux célèbres amis suivent le même chemin et le prennent en auto stop… Malheureusement, leur voiture a également des ratés, et voilà nos trois nouveaux compères obligés de se rendre à pied au village le plus proche… Espérant quérir l’hospitalité du cru, ils sont bien déçus, car les bretons, d’habitude si amicaux, se montrent froids et leur claquent les portes au nez…
Il y a décidément quelque chose de curieux dans ce village et l’hospitalité d’une vieille dame a tôt fait de leur apprendre le pourquoi, des fantômes hanteraient le village la nuit tombée, et des étrangers feraient des choses dans le château en ruines… Nos deux amis ne sont guère sensibles aux fantômes et décident d’enquêter…

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur TIF ET TONDU #20 – Les ressuscités

Un enquête un peu plus classique, sans trop de parcelle de fantastique, si ce n’est ces étranges revenants auxquels on ne peut accorder trop de crédits… Néanmoins la mise en place de l’intrigue et des lieux est bien amenée, et l’intrigue se met en place doucement, enveloppant le lecteur petit à petit dans les engrenages de l’histoire. Une nouvelle fois, on peut dire avec plaisir que tout cela est bien mené et amené, et que le lecteur est bien absorbé dans le récit. Bref, il serait difficile de nier l’évidence, je suis manifestement accroc à cette série ^_^ Mais j’espère bien que vous aurez le même plaisir que moi si vous avez l’occasion de plonger un jour dans les récits de Tif et Tondu, car ceux ci, malgré leur age avancé, méritent un intérêt digne de ce nom.
En résumé, nous revoilà avec la même constatation heureuse, avec une intrigue qui se tient, un ensemble homogène, des dessins classiques et efficaces, une bonne gestion de la colorisation classique et de la ligne claire. Bref, un grand classique que vous vous devez de découvrir au moins une fois.

Par Siam l'Archiviste, le 26 décembre 2004

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