TIF ET TONDU
Le réveil de Toar

Nos amis Tif et Tondu sont passionnés par les mystères, ce n’est plus un secret, mais le jour où un antiquaire leur raconte un incident dans sa boutique, avec la disparition d’une clé étrange, et la présence d’une armure qui n’aurait pas du être présente, les voici pris de doutes quant à la réapparition de Monsieur Choc…
Le lendemain, afin d’avoir de plus amples renseignements concernant l’antiquaire, Tondu y retourne, pour trouver l’antiquaire dans un état de torpeur… Puis c’est Tif, ui ne voyant pas revenir Tondu, apprend que son ami est plongé aussi dans un état similaire… Heureusement, cela semble temporaire, et dès son réveil, Tondu part avec Tif à la recherche d’un village nommé Menhir, comme écrit sur la clé. Destination moyen age…

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur TIF ET TONDU #12 – Le réveil de Toar

Allez hop, on enchaîne sur une nouvelle lecture des aventures de nos deux détectives. Mais que voulez-vous dire au bout de tant d’albums, qu’y a t-il à ajouter après avoir dit que le dessin ressemble à celui de l’album précédent, et que le scénario tient la route sans accrocs… Peut-être faut-il ajouter qu’il s’agit d’une histoire bien menée, avec le retour de monsieur Choc dans le rôle de l’ennemi bon chic bon genre mais pourtant bel et bien méchant. Ou bien que cet album est réservé à un public qui saura se replacer dans le contexte de l’époque pour ne pas souffrir des histoires et des dessins qui commencent à bien dater…
Je ne sais pas en réalité ce qu’il faut ajouter aux critiques précédentes sans avoir l’air de « lécher des pompes », mais honnêtement, j’apprécie cette série, même si elle fortement marquée de l’empreinte du temps. Maintenant il est vrai que les histoires sont quelque peu prévisibles, et assez classiques, mais l’énergie et le rythme de celles-ci fait passer sans trop de peine le manque d’originalité. Autre point, se recontextualiser dans l’époque de création aide à apprécier les albums à leur juste valeur, et c’est peut-être ceci qui fait que je les apprécie autant.
Je ne saurais que trop vous conseiller d’y jeter un oeil.

Par Siam l'Archiviste, le 23 décembre 2004

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