THERMAE ROMAE
Volume 4

L’Empereur Hadrien, très affecté par la mort d’Aelius, fait appel à Lucius pour parler de sa succession et de projets qui pourraient être confiés à son nouveau successeur, le jeune Marcus. Il s’agirait de totalement rénover la station balnéaire de Baïes. Mais, alors que les deux hommes parlent en prenant un bain, Lucius disparaît dans la vapeur.

Lorsque la vapeur se dissipe, Lucius découvre qu’il est à nouveau au pays des “visages plats”, à savoir les Japonais, de nos jours. Il tombe nez à nez avec une superbe jeune femme qui lui fait le plus grand effet. Bloqué plus longtemps que d’habitude dans le futur (notion dont il n’a pas conscience), il est finalement embauché dans le centre de balnéo où il est apparu. Un site tout proche de la mer et qui pourrait bien lui donner de nouvelles idées, pour peu qu’il puisse rentrer chez lui…

Par legoffe, le 31 octobre 2012

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Notre avis sur THERMAE ROMAE #4 – Volume 4

Après quelques pages d’entrée en matière sans grand intérêt, l’auteur renvoie Lucius dans le futur. Commence alors un récit haut en couleurs, particulièrement dynamique et assez drôle. Le sérieux et les attitudes de Lucius donnent vraiment des situations cocasses lorsqu’on l’observe au milieu de Japonais qui voient en lui un étranger, mais certainement pas un homme venu du passé. Sauf que… cette fois, une superbe jeune femme, qui parle latin, va réellement s’interroger sur l’identité de son hôte. Et cela va apporter une autre dimension à l’histoire en donnant plus de relief aux personnages principaux, tant sur leurs réflexions que sur leurs sentiments.

Autre intérêt, Lucius est, cette fois, confronté au modernisme de manière flagrante. Il avait, jusque-là, échappé au téléphone ou à la télévision. Comment va-t-il encaisser ces révolutions d’un autre temps ?

La distraction est donc totale et l’on s’amuse au moins autant que dans les épisodes précédents. L’auteur améliore ainsi sa série de tome en tome, pour notre plus grand plaisir. Un manga qui détend autant qu’un bon bain !

Par Legoffe, le 31 octobre 2012

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