THE HELLBLAZER (DC UNIVERSE REBIRTH)
The Poison Truth

John Constantine est de retour à Londres. Il aurait du rester à New York, après ce qui avait été décidé, il y a quelques années avec un démon, pour sauver les londoniens. Mais l’appel de Londres a été le plus fort. Il va, bien sûr, régler son vieux problème avec ce démon, avant de se remettre à chercher de nouveaux ennuis où il doit compter sur l’aide du fidèle Chas Chandler, sans oublier la présence bienveillante (?) de Swamp Thing…

Par berthold, le 24 août 2017

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Notre avis sur THE HELLBLAZER (DC UNIVERSE REBIRTH) #1 – The Poison Truth

The Poison Truth est le premier volume de la nouvelle série The Hellblazer  "période Rebirth". On y retrouve les THE HELLBLAZER: REBIRTH 1 et THE HELLBLAZER 1 à 6.

C’est Simon Oliver qui se charge de faire revenir Constantine à Londres.
Le récit n’est pas si mal. La période Constantine (The new 52) m’avait un peu déçu. Le retrouver aux USA, le voir monter sa propre Ligue (La Ligue des Ténèbres), cela avait enlevé du cachet à cet anglais, ce fumeur invétéré et ce fumier notoire. L’esprit de la série Hellblazer de la série Vertigo, n’était plus là.
Avec Rebirth, certes, Constantine est de retour chez lui. Mais pour le moment, nous ne sommes pas encore au niveau des histoires imaginées auparavant par Garth Ennis, Warren Ellis, Brian Azzarello, Mike Carey… et j’en oublie.

Dans ces pages, on peut croiser Swamp Thing, mais aussi Wonder Woman.
Oliver prend son temps pour placer son intrigue et cela ne commence à vraiment être intéressant que vers les dernières pages. Il nous faudra attendre le prochain volume pour savoir ce qui attend notre anti-héros britannique.

Moritat, puis Pia Guerra se chargent de la partie graphique. Ils font du bon boulot : efficace et simple. Moritat sur ce Hellblazer Rebirth est impressionnant.

Un bon récit que ce premier volume. Le retour à Londres est bénéfique à Constantine. A voir par la suite si le niveau va aller crescendo ou si nous resterons à un niveau égal à celui de la période The New 52.

 

Par BERTHOLD, le 24 août 2017

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