TAITEI NO KEN - L'EPEE DE L'EMPEREUR
Les démons, troisième partie : le rugissement du démon

Genkuro et Saru vont apprendre de la bouche même de la jeune femme qui est à leurs côtés qui, de Ran ou de Mai, elle est vraiment. Son explication, peu banale, les aidera à mieux comprendre la situation et à appréhender celles qui vont suivre, notamment l’arrivée soudaine de la créature qui était à la poursuite de la belle…

Musashi Miyamoto, de son côté, est à la recherche de trois artéfacts sacrés en lien avec la chrétienté. Il ne sait pas que l’un d’eux est en la possession de Genkuro…
 

Par sylvestre, le 3 février 2011

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Notre avis sur TAITEI NO KEN – L’EPEE DE L’EMPEREUR #5 – Les démons, troisième partie : le rugissement du démon

 
Ce tome 5 met fin au premier cycle de la série mais laisse grandes ouvertes les portes sur la suite. Les quêtes commencées ne sont en effet pas terminées, loin de là ! On prend connaissances d’éléments importants nouveaux concernant différents personnages, mais on voit bien aussi que tout reste « en orbite » sur une spirale narrative qui n’a pas encore fini de rapprocher toutes les pièces du puzzle !

Le dessin de Dohé est toujours impeccable, tout en puissance et tout en contrastes au niveau de la couleur (si l’on peut parler ainsi, étant donné qu’on a affaire dans Taitei no ken à du noir et blanc). Au niveau du rythme, c’est encore et toujours assez élastique : parfois muet et brutal, parfois plus lent et secondé par de longs textes. Le fantastique enfin fait de très grands pas dans ce tome et l’on ne sait pas encore quelle place il laissera au reste dans la suite de la saga qui continue d’entremêler traditions d’un japon ancestral et science-fiction tout en y insufflant un certain métissage apporté par les origines paternelles de Genkuro, par les origines de l’épée qu’il possède et par cette importance que revêt la chrétienté dans les quêtes de Musashi Miyamoto et de Shiro Amakusa.

Toujours aussi beau et viril, toujours aussi intrigant… Taitei no ken n’a pas encore livré tous ses secrets mais nous y conduit sur des chemins balisés par le mystère et le sang…
 

Par Sylvestre, le 10 février 2011

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