TAITEI NO KEN - L'EPEE DE L'EMPEREUR
Les démons, deuxième partie : La résurrection du démon

Alors que le terrifiant Gonzo, mi-homme, mi-bête, anéantit avec une facilité déconcertante les adversaires qui se présentent à lui, Genkuro voit son chemin rejoindre celui d’une femme qui lui dira s’appeler Ran mais qui en réalité n’est autre que la Princesse Maï, recherchée par bien des gens… Genkuro acceptera de faire la route avec elle et d’être son protecteur, mais il manquera à ce devoir dès la première nuit venue : leur refuge sera attaqué et elle sera blessée…

Saizo, l’homme qui avait réussi à échapper à Gonzo, finira par être rattrapé par ce dernier dont le flair est exceptionnel. Mais habile, il parviendra à lui crever les yeux, pensant qu’enfin Gonzo arrêterait de le traquer. Lorsque plus tard Saizo assistera au combat victorieux d’un solide gaillard appelé Musashi que deux hommes avaient provoqué en duel, il lui viendra l’idée de se débarrasser de Gonzo en utilisant de manière originale les services de ce gaillard en question…
 

Par sylvestre, le 12 septembre 2010

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Notre avis sur TAITEI NO KEN – L’EPEE DE L’EMPEREUR #4 – Les démons, deuxième partie : La résurrection du démon

Les planches de Taitei no Ken sont spectaculaires en leur genre, par la qualité du dessin de Dohe et par les caractéristiques des personnages que l’artiste fait vivre sous ses crayons, que ce soit des êtres hybrides comme Gonzo, des êtres aux musculatures impressionnantes comme Genkuro ou au contraire comme la Princesse Maï dont la beauté illumine les planches où elle apparaît quand les autres pages du récit sont plutôt sombres et sanglantes…

Ce tome 4 se lit vite. Trop vite, même, peut-être. Les situations sont claires et s’enchaînent sans perdre le lecteur, mais les changements de "tableaux" ne sont pas très nombreux. La part belle est en effet faite aux scènes de combat qui, pratiquement muettes, se parcourent à la vitesse grand V dès lors que l’on tourne à un rythme proportionnel à la dynamique des duels les nombreuses pages qui nous les montrent !

L’ensemble reste cependant de grande qualité pour qui aime ces ambiances et ces prouesses de manieurs de sabres sans scrupules, pour qui aime le dessin de Dohe, aussi, d’excellente facture.

A suivre…
 

Par Sylvestre, le 12 septembre 2010

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