STEPHANE CLEMENT, CHRONIQUES D'UN VOYAGEUR
Belfast, l'adieu aux larmes

À Belfast, sur fond de guerre civile irlandaise et de bavure militaire, Stéphane s’inquiète. Sa copine Cynthia n’est pas rentrée d’Italie où elle s’était rendue pour son travail. Quelques événements le précipiteront, lui et son ami Jas, à aller la rechercher en Italie.

Par zippo, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur STEPHANE CLEMENT, CHRONIQUES D’UN VOYAGEUR #8 – Belfast, l’adieu aux larmes

Parlons d’abord du dessin, le réalisme de celui-ci est d’une « précision documentaire » : Belfast, ses pubs, ses forces de l’ordre, ses attentats, tout comme si vous y étiez. Il pleut beaucoup sur l’Irlande du Nord, il pleut aussi sur le dessin de Ceppi, de fines rayures qui strient les visages, les corps, les décors. Un dessin un peu plus sombre, moins lumineux que les albums précédents. 

L’histoire, quant à elle, est en totale adéquation avec la situation qui prévalait en Irlande du Nord à cette époque. Intéressante, réaliste, avec un soupçon de mystère et d’intrigue. 

Pas un chef-d’œuvre, mais une bonne BD !

Par zippo, le 22 novembre 2005

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