SPIROU ET FANTASIO
La vallée des Bannis

Après avoir chuté dans le ravin, Spirou, Fantasio et Spip se réveillent dans une jungle bien étrange, où la moindre créature, la plus petite plante ne semble avoir qu’une fonction : tuer l’inattentif voyageur.
A peine ont-ils repris leur marche pour retrouver les vestiges de l’expédition Maginot que Fantasio se fait piquer par un moustique. Hélas ! ce moustique est la pire créature de la vallée : il inocule un virus qui rend fou furieux…

Par PATATRAK, le 1 janvier 2001

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2 avis sur SPIROU ET FANTASIO #41 – La vallée des Bannis

Suite de la ‘frousse aux trousses’, ce tome est du même tonneau : excellent !

Tome a inventé un bestiaire et une flore complètement délirants et hilarants (même si j’aimerais pas trop en croiser : o)). On sens qu’il a vraiment lâché les soupapes et laissé parler son imagination sans aucune retenue!
Fantasio en furie m’a littéralement fait exploser de rire, tant par son comportement que ses mimiques ! Et ce qui est  aussi amusant, c’est qu’il pose effectivement la bonne question qu’on se pose toujours quand on est dans l’ombre du héros : "quel est mon rôle ?" C’est vrai que parfois, Fantasio est un peu vite réduit au statut de "bouffon en chef", au gaffeur de service. Mais évidemment, ce n’est pas la faute de Spirou mais celle des scénaristes successifs ! : o)))
Du coup, on ressent bien l’amitié qui lie les deux personnages, on la sent plus "présente" pour ainsi dire. Cette amitié allait presque de soit, parce qu’elle existe depuis le début. Mais là, elle est vraiment mise au premier plan, et c’était sympa de recadrer un peu le rôle de chacun.
Ajoutez à cela un zest de suspense et une pincée de rebondissement en tout genre, et vous obtenez une grande et belle aventure exotique !

Par PATATRAK, le 3 janvier 2003

C’est étrange, on entre dans cet album sans avoir vraiment le début (en tout cas moi je n’ai pas lu le précédent album), on se retrouve tout de suite projeté dans une histoire palpitante pleine de rebondissement, d’humour etc. Bref c’est un album qu’on ne lache pas d’une semelle du début à la fin, on retrouve l’énergie habituelle de ces personnages, l’écriture de Tome est évidemment très bien rythmée et le dessin de Janry magnifique.
C’est ce que j’adore dans Spirou et Fantasio, cette fantaisie, cette pseudo légèreté et surtout ces petits prétextes qui permettent à Tome de dénoncer « à sa façon » les stéréotypes que traine derrière lui ce personnage icône, Fantasio, dans un excès de colère déballe à son ami ce qu’il pense de son rôle de héros, de ce déséquilibre avec les personnages secondaires moins gatés… J’ai beaucoup ri
Faites comme moi : -) !

Par FredGri, le 16 août 2004

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