SPIDER-MAN
Volume 1

New-York. Spider-Man fait, comme tous les jours, une petite patrouille pour voir si un crime n’est pas en train de se commettre, avant de retourner rejoindre sa femme, Mary-Jane. Mais quelque part dans la ville, quelque chose agit. Quelque chose réveille, au plus profond des bas-fonds de la cité, un vieil ennemi du tisseur…

 

Par berthold, le 27 août 2015

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Notre avis sur SPIDER-MAN #1 – Volume 1

Au début des années 1990, Todd McFarlane est l’une des valeurs montantes du comics. Et pour montrer que l’artiste est même une valeur sûre, Marvel lui confie les rênes d’une nouvelle série sur Spider-Man, où il sera scénariste et dessinateur.
Pendant un peu plus d’un an, McFarlane va gérer ce titre, avant de laisser sa place à Erik Larsen et avant d’aller créer sa propre maison d’édition (en compagnie de Jim Lee, Rob Liefeld, Erik Larsen et d’autres) sous le titre d’Image Comics, où il y créera son personnage phare : Spawn.

Ce premier volume de Spider-Man reprend les quatre premiers épisodes de la série.
McFarlane montre son style, il utilise davantage le côté "monstre" des ennemis de Spider-Man et en rajoute sur le côté violent et baston de cet univers. Nous découvrons de temps en temps Peter Parker avec sa petite femme, la belle Mary-Jane Watson qui comprend le rôle de super-héros de son mari, mais doit aussi apprendre à gérer ses absences et à continuer de s’amuser.
Cette intrigue voit donc le retour du Lézard, alias le Dr Connors. Mais quelqu’un manipule le monstre, qui s’attaque aux innocents et dévore ses victimes. Parker doit mettre un terme à tout cela pour aider son ami, Connors. La tâche s’avère difficile, comme on peut vite le constater.
L’intrigue conçue par McFarlane tient la route et nous offre un très bon divertissement.

Graphiquement, l’auteur de Spawn fait des merveilles sur le titre et innove avec quelques audaces visuelles. Il joue avec les positions du Spider-man lors de ses évolutions au dessus des toits de New York, avec la texture de la toile et s’en sert pour "jouer" avec lors de la composition de certaines planches. Il malmène le héros et on se rend vite compte que le costume est souvent mis en lambeaux.

Ce premier volume du titre Spider-Man vu par Todd McFarlane est une agréable surprise.

 

Par BERTHOLD, le 27 août 2015

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