SOUL GADGET RADIANT
Tome 2

Lyle accompagne Noié et Marisha sur les traces de la magicienne Rozeon, créatrice maléfique des Soul Gadgets. Abandonnant Sheska et Gio, ils font route pour l’ancien laboratoire de recherche du père de Noié, co-créateur des Gadgets. C’est alors que, du passé de la jeune fille, surgit un ennemi des plus inattendu…

Par boukrou, le 23 février 2012

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Notre avis sur SOUL GADGET RADIANT #2 – Tome 2

Soul Gadget Radiant revient avec ce deuxième opus et la lourde tache de nous convaincre après un premier tome globalement mitigé mais surtout offrant des possibilités assez riches.

On rejoint nos protagonistes dans leur quête. On va en apprendre un peu plus sur le passé de Noïé : son père qui est la base de la recherche sur les gadgets s’est fait tuer par Rozeon et son frère a rejoint le camp ennemi. Si vous trouvez un petit air niais dans ma phrase, c’est normal. Là encore, rien de bien original, et même pire, on tombe dans le cliché. Lyle quant à lui, va miraculeusement développer son pouvoir sans aucune explication et il se pourrait bien que son passé lui aussi ressurgisse prochainement d’autant plus que certains personnes semblent en savoir plus qu’ils ne veulent le dire. Tout apparaît cousue de fil blanc ? Oui oui, c’est bien le cas.

Côté graphisme, on retrouve les mêmes points négatifs qu’évoqués précédemment à savoir les visages et la ressemblance entre les personnages mais également les mêmes points positifs tels que les arrière-plans et l’univers très bien retranscrit. Encore un avis mitigé à ce niveau donc.
On notera également une touche de fan-service qui arrive comme un cheveu sur la soupe et donc clairement pas nécessaire. On a l’impression que l’auteur cherche un moyen supplémentaire d’accrocher son lectorat coûte que coûte pour combler un vide et ce de manière pas très habile pour le coup.

Soul Gadget Radiant continue sur sa lancée avec un potentiel énorme mais toujours pas suffisamment exploité. Il ne va pas falloir tarder avant qu’on ne se lasse. Si jamais on continue, ce sera sans grande conviction.

Par boukrou, le 23 février 2012

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