SOMMET DES DIEUX (LE)
Tome 2

Fukamachi continue son enquête sur le grand alpiniste Habu Jôji qui le fascine de plus en plus. Il entre notamment en contact avec une jeune femme qui possède un document exceptionnel : le journal d’Habu lors de son ascension des Grandes Jorasses. C’est lors de cette course en solitaire qu’il fut victime d’un grave accident dont il se sorti de manière si incroyable que cela le fit encore un peu plus entrer dans la légende.

Le journaliste en apprend aussi un peu plus sur cet incident lors d’une expédition japonaise sur l’Everest à laquelle participait Habu. C’est après cet épisode que l’alpiniste disparu sans que l’on sache ce qu’il était devenu.

Par legoffe, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur SOMMET DES DIEUX (LE) #2 – Tome 2

Je suis toujours aussi émerveillé à la lecture de ce récit d’alpinisme qui mêle fiction et histoire de la montagne. Les dessins de Taniguchi sont décidément exceptionnels. Son sens du détail, le regard des personnages, la beauté des montagnes… Il est vraiment un maître incontesté du manga.

Le récit, lui, est passionnant. Chacun des livres de la série (cinq en tout) fait plus de 300 pages et on les dévore à toute vitesse. J’avoue, dans ce tome 2, avoir trouvé le passage des Grandes Jorasses un peu long. Mais il y avait une grande intensité dans le drame.

Le récit d’une ascension de l’Everest, un peu plus loin, permet de mieux comprendre l’organisation de ce genre d’aventure réservée aux sportifs de très haut niveau. Et elle lève le voile sur un épisode clé de la vie d’Habu, sa disparition après l’incident, sans que l’on sache où il était parti et même s’il était encore en vie (bon, le lecteur – lui – a la réponse depuis le tome 1).

On connaît un peu mieux aussi Hase Tsuneo a qui sont consacrés deux épisodes complets.

Le feuilleton s’avère donc fantastique. Adapté d’un roman de Baku, il plaira à bon nombre de lecteurs, fans ou non de mangas. Et si vous aimez la montagne, cette série est incontournable, même si vous n’aimez pas la BD. Un ami qui ne lisait jamais de bandes dessinées (si ce n’est pas malheureux ça !) a dévoré la série en quelques jours.

Par Legoffe, le 23 mai 2007

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