SOLOMON KANE
Death's Black Riders

Allemagne, dans la Forêt Noire. 
Une famille de gitans se fait attaquer par  des bandits. Mais d’étranges créatures sorties de nulle part vont s’en prendre à tout ce petit monde. L’arrivée de Solomon Kane va renverser la situation. Malheureusement, il sera trop tard : la famille est tuée et des bandits, il n’en reste plus qu’un, Gaston L’Armon. Ce dernier et Kane vont poursuivre leur route ensemble et vont s’arrêter dans une étrange demeure…

 

Par berthold, le 12 décembre 2010

Notre avis sur SOLOMON KANE #2 – Death’s Black Riders

Solomon Kane est un personnage qui a été crée par Robert E.Howard. L’an dernier, une adaptation cinématographique a vu le jour et est disponible en DVD.
Ce héros est un personnage assez ambigu, assez taciturne qui combat le mal et ses créatures. 

L’éditeur Dark Horse s’est lancé dans l’adaptation en bandes dessinées des aventures de Solomon Kane. Le premier tome était des plus réussis. Pour ce second volume, nous retrouvons l’équipe créative du premier opus : Scott Allie et Juan Ferreyra. Ils nous donnent à lire un récit où l’action prime, où les créatures diaboliques sont assez impressionnantes, où l’épouvante remplie les pages. Allie sait nous tenir en haleine et il est aidé en cela par le graphisme inspiré de Guevara. Seul le coloriste a changé pour ce tome : ce n’est plus Dave Stewart qui se charge de ce travail mais l’auteur argentin Juan Ferreyra. Ce dernier donne un autre ton à l’ambiance générale par ses couleurs.
Les créatures démoniaques que vous croiserez dans ce récit sont imaginées par Guy Davis (B.P.R.D., The Marquis). Vous le retrouverez dans une courte histoire intilulée All the damned souls at sea où tout son talent explose. Davis est un artiste vraiment intéressant. Vous pouvez d’ailleurs admirer ses travaux dans le sketchbook à la fin de ce tome, ainsi que les croquis de Guevara, ou encore les recherches pour les couvertures de Darick Robertson.

Ce tome sans être aussi bon que le précédent s’avère être une bonne lecture.

 

Par BERTHOLD, le 12 décembre 2010

Publicité