SIN CITY (EDITION 2013)
Des Filles et des Flingues

11 histoires qui nous ramènent par des détours dans les ruelles sombres de Sin City ! Qu’il s’agisse de solitude, de crimes, de contrats, de belles putes, les gens sont tous les mêmes…
– "Just Another Saturday Night" (Sin City #1/2, parue ensuite dans "Just Another Saturday Night")
– "Fat Man et Little Boy" (Fat Man and Little Boy) (Paru dans "Lost, Lonely, & Lethal")
– "Le client a toujours raison" (The Customer is Always Right) (Paru dans "The Babe Wore Red and Other Stories")
– "Silent Night"
– "Yeux bleus" (Blue Eyes) (Paru dans "Lost, Lonely, & Lethal")
– "Rats" (Paru dans "Lost, Lonely, & Lethal")
– "Fille à papa" (Daddy’s Little Girl) (Paru dans "A Decade of Dark Horse" 1 et dans "Tales to Offend" 1)
– "Fausse route" (Wrong Turn) (Paru dans "Sex & Violence")
– "Le mauvais train" (Wrong Track) (Paru dans "Sex & Violence")
– "La fille en rouge" (The Babe Wore Red) (Paru dans "The Babe Wore Red and Other Stories)

Par fredgri, le 26 août 2014

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Notre avis sur SIN CITY (EDITION 2013) #6 – Des Filles et des Flingues

L’intérêt de cet album c’est que l’on retrouve les personnages que l’on connait bien. Qu’il s’agisse de Marv, Dwight ou les autres, ils sont là pour un ultime come back et Miller se fait visiblement plaisir à la fois de les réutiliser, mais aussi de retrouver, même brièvement toutes les ambiances qu’il a su développer dans ses récits plus longs. Ici on est à chaque fois dans un condensé de Sin City, dans cette matière sombre, ces univers corrompus, ces flics grassouillet, ces femmes fatales qui nous font vibrer, ces malfrats tout juste bon à se se faire cogner par ces gueules cassées !

Ces petits récits (allant de quelques pages à des histoires plus longues) permettent surtout à Miller de revenir sur toutes les facettes de sa ville, sans pour autant entrer dans une histoire de plus longue haleine, une multitude de flash ou il peut même se permettre une pincée d’humour, des exercices de style et des narrations décalées jubilatoires. Un régal !

Un album qui reste donc en marge, mais qui demeure indispensable pour les fans de cette univers, pour ceux qui ne veulent rien louper de ce Sin City qui reste toujours autant hypnotique !

Après, c’est vrai qu’il s’agit là d’une succession de "nouvelles", qu’il manque donc d’une sorte de consistance d’ensemble, mais c’est aussi l’essence de ce genre de format, du concentré souvent bien plus vibrant que le reste… !

Par FredGri, le 26 août 2014

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