SIMPLE COMME L'AMOUR
Tome 1

Soyo est la seule élève en dernière année de collège dans son petit village… où l’école rassemble en tout et pour tout six élèves à des niveaux différents. C’est donc bien naturel qu’elle ait été ravie qu’un nouvel élève de son niveau scolaire vienne grossir les effectifs et qu’elle l’ait attendu si impatiemment !

Le nouveau, c’est Hiromi Osawa, le petit-fils d’un vieux du village. Il habitait à Tokyo, avant d’arriver. Est-ce parce qu’il avait pris là-bas de mauvaises habitudes qu’il se montrait hautain et prétentieux ? Voilà qui irritait Soyo qui avait plutôt idéalisé son nouveau camarade. Mais le comportement du garçon était également doublé d’une assurance qui fascinait Soyo. De là à ce qu’elle tombe amoureuse de lui…
 

Par sylvestre, le 18 mars 2010

Notre avis sur SIMPLE COMME L’AMOUR #1 – Tome 1

Sans dire du dessin de Fusako Kuramochi qu’il est approximatif, on pourra en tout cas dire qu’il est assez spécial, qu’il n’est peut-être pas assez doux, assez arrondi, pour coller au mieux avec les personnages de l’histoire qui sont des enfants vivant dans un paisible petit village. Dans cette histoire, tout est pourtant si joli, si paisible. On est loin, dans Simple comme l’amour, d’un manga dopé par exemple au stress urbain ou d’un manga régi par des codes violents comme ceux du combat ou de la compétition. On est plus dans les volets romantique, sentimental et poétique, tout en étant dans un contemporain laissant leur place aux petits tracas de la vie…

Mais qui a dit, justement, que le dessin devait être obligatoirement comme ci ou comme ça pour que l’histoire soit bonne ? Les lecteurs jugeront sur pièce ; et s’ils accrochent à ce début de récit shojo, nul doute que les a priori sur le graphisme disparaîtront à leurs yeux au profit de la qualité des situations, des ambiances et de l’analyse des relations entre ces héros ados confrontant leurs comportements et leurs habitudes.
 

Par Sylvestre, le 18 mars 2010

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