SIBERIA 56
Morbius

Ned, le seul survivant de la 13ème mission sur Siberia 56, avait pu rejoindre la base installée sur les terres blanches de ce monde au final hostile. Il a pu raconter à ses habitants ce qui s’est passé. Il a ainsi pu mettre un nom sur l’entité invisible qui les a attaqué : le Morbius. Ceux de la base savent que cette créature représente un énorme danger. Ce qu’ils ne savent pas, c’est comment elle vit et se comporte. Cette créature serait déjà responsable de la mort de divers visiteurs depuis la première mission sur Siberia 56.

 

Par berthold, le 27 septembre 2014

Notre avis sur SIBERIA 56 #2 – Morbius

Vous pensiez avoir tout vu en lisant le premier tome de Siberia 56, le thiller SF de Christophe Bec et d’Alexis Sentenac ! Attendez vous à en voir plus dans ce second volet !

Siberia 56 est un très bon livre de science-fiction, un très bon récit d’épouvante SF et une des meilleures lectures dans le genre.
Christophe Bec, l’auteur de Carthago et de Prométhée crée l’atmosphère adéquate pour nous entrainer dans ce genre d’histoires qui, ma foi, peut nous faire gamberger par moment, surtout en le lisant le soir… très tard…
Dans ce nouvel opus, Bec nous raconte l’arrivée des premiers voyageurs sur Siberia et leur première prise de contact avec cet environnement pas si accueillant que ça. Nous découvrons aussi pourquoi la créature invisible qui terrorise Siberia porte le nom de Morbius. Bec nous montre aussi les pensées de Ned, le survivant de la treizième mission et de ce qu’il vie à nouveau lors de sa deuxième sortie sur cette planète.
Encore un fois, l’intrigue imaginée par Christophe Bec est passionnante et angoissante !

Le tout étant magnifiquement mis en images et en couleurs par Alexis Sentenac qui semble très inspiré. En attendant, la SF genre Alien, le huitième passager semble lui convenir à merveille. Il réalise de très belles pages servies par de superbes paysages qui quelque part arrivent à nous donner la chair de poule !

Les explorateurs Bec et Sentenac continuent de nous faire explorer le territoire hostile de Siberia 56 avec un grand talent faisant de cette bande dessinée un des musts dans le genre. Un monde à explorer sans hésiter.
Un voyage d’où, peut être, vous ne sortirez pas indemne !

 

Par BERTHOLD, le 27 septembre 2014

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