SEVEN SOLDIERS OF VICTORY
A jamais dans nos mémoires

Le puzzle se met en place peu à peu. Après Shining Knights, Zatanna, Klarion et Guardian, ce sont Frankestein, Mister Miracle ainsi que Bulletter qui vont faire leurs preuves avant l’ultime combat contre les Sheedas…

Par berthold, le 1 janvier 2001

2 avis sur SEVEN SOLDIERS OF VICTORY #4 – A jamais dans nos mémoires

Ce quatrième volume est la conclusion de cette grande saga imaginé par Grant Morrison. Nous y retrouvons les épisodes US suivants :
Seven Soldiers : Frankestein # 2, 3 et 4.
-Seven Soldiers : Mister Miracle #3 et 4.
-Seven Soldiers : Bulleteer #3 et 4.
– Seven Soldiers #1.
Cette saga se clôture donc en beauté. 
J’ai été agréablement surpris par ce récit. il faut dire que Morrison est un des meilleurs scénaristes de sa génération. Dans les différents récits de ce volume, il aborde plusieurs sujets, des genres bien différents et qui sont servis par des dessinnateurs tous différents dans leur style, mais qui imprègnent de leur présence ces histoires. 
J’ai apprécié les recits de Frankestein illustrés par Mahnke. Il y a un certain humour qui ressort de ces pages et un bel hommage aux films des années 1930 consacrés à Frankenstein. Il suffit de voir la "Mariée" ! Yannick Paquette a un style très sensuel pour illustrer la gent féminine. 

Et oui, bout à bout, ces différents récits nous entraînent vers la conclusion qui sera à la hauteur de nos attentes. Et qui sera tragique aussi. 
Morrison dans Bulleteer se moque aussi des super-héros avec cette convention de héros. 
Des sagas comme cela, on en redemande. 
En tout cas, j’ai pris plaisir à lire les aventures de ces 7 "soldats de la Victoire".

Par BERTHOLD, le 4 décembre 2007

Dernier volume de ce projet on ne peut plus ambitieux. Alors que les 7 mini-séries se sont conclues avec la même question "un des seven soldiers mourra, qui sera-t il ?" on a droit à un Seven soldier 1 remarquable, à la fois très dense, très bien rythmé et graphiquement splendide. Même si, finalement, on sait aussi qu’il n’y aura aucune répercutions sur l’univers DC classique (Morrison voulant gérer le plus possible ces personnages lui même (c’est pourquoi ils apparaissent dans 52 !)) on ne peut s’empêcher de se dire que l’ensemble est très cohérent finalement.
Néanmoins, même si je suis assez content de cette lecture, je ne peux m’empêcher de trouver que l’ensemble sent aussi pas mal le pétard mouillé, dans le sens ou en fin de compte ça ne va pas très loin, Morrison s’est tellement vanté sur ce truc et tous le monde l’aura certainement oublié dans quelques années. Mais il faut saluer le côté ample de la démarche, cet aspect multi facette et surtout ce formalisme que personnallement j’adore (en plus quand Williams 3 s’en mèle ça donne des planches vraiment magnifique (la conclusion l’amène à copier mille et un style, et notamment ceux des différents artistes qui se sont illustrés sur les mini-séries, ou alors a mettre des mots croisés, des copies de journaux, de textes illustrés, bref, du très grand art !)

Par FredGri, le 17 avril 2008

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